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Billy Baron (Zénit St. Petersbourg) : « Je n’ai pas encore vu un seul ours. Mais je suis à l’affût ! »

L’arrière du Zenit Saint-Petersbourg, Billy Baron (1,88m, 30 ans) est un fort attaquant (14,3 points, 47,3% à trois-points) et se dit parfaitement intégré dans le paysage russe.

L’arrière du Zenit Saint-Petersbourg, Billy Baron (1,88m, 30 ans) est un fort attaquant (14,3 points, 47,3% à trois-points) et se dit parfaitement intégré dans le paysage russe.

« Oui, je me sens déjà chez moi ici », a t-il déclaré à Top View. « Pourtant, il y a une grande différence entre quand vous arrivez pour la première fois et comment c’est maintenant. Je savais déjà où j’allais vivre, dans quels restaurants j’irais, où j’aurais mon propre café, où se trouvait le meilleur cappuccino. De petits détails comme celui-ci donnent une impression d’être à la maison. J’ai beaucoup de restaurants préférés à Saint-Pétersbourg, car je suis un amoureux de la bonne cuisine. La liste est très longue. Mais je ne suis pas un grand fan des musées. »

Avant de déménager en Russie, Billy Baron a joué deux saisons à l’Etoile Rouge de Belgrade.

« Mon frère (NDLR : Jimmy, passé par Châlons-Reims) a joué ici en 2013 pour Loko, il m’a préparé pour le voyage en Russie, m’a dit à quoi m’attendre. J’ai visité une trentaine de pays, donc plus rien ne me surprend vraiment. Je n’avais pas spécialement peur de la Russie, au contraire, je voulais vraiment venir ici et jouer ici. Voir différentes parties du pays, par exemple, Krasnoïarsk. Même si c’est loin et très froid, c’est quand même cool d’être là. Et quand je rentre chez moi en Amérique, je raconte à mes proches des histoires sur la façon dont des températures de -40 se produisent là-bas. C’est donc une expérience très cool. J’adore aussi Moscou et Saint-Pétersbourg, le fait que ma famille ait l’opportunité de venir ici, je l’apprécie vraiment et j’aime parler de la Russie à nos proches aux États-Unis. Toutes les histoires de Russie sont uniques, je n’ai jamais pensé que je descendrais de l’avion à Krasnoïarsk en décembre et ce serait -40 dans la rue… Je me suis dit : « Wow, c’est là que le basket m’a emmené, c’est trop cool ! » Quand j’étais petit, je n’aurais même pas pensé que je visiterais un jour ce pays ! Et, bien sûr, l’expérience et l’opportunité pour ma famille d’être ici – sans le basket, rien de tout cela ne serait arrivé. Au fait, je n’ai pas encore vu un seul ours. Mais je suis à l’affût !

Photo : Euroleague

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