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Zeljko Obradovic (Partizan) après la victoire à Boulogne-Levallois : « Partout où nous allons, nos fans sont d’un soutien incroyable »

Malgré 53 points passés en première mi-temps, les Metropolitans ont cédé face au Partizan Belgrade de Zeljko Obradovic, mercredi soir, en Eurocup (89-82). La faute aussi au kop de supporters serbes venus en nombre à Marcel-Cerdan.

Malgré 53 points passés en première mi-temps, les Metropolitans ont cédé face au Partizan Belgrade de Zeljko Obradovic, mercredi soir, en Eurocup (89-82). La faute aussi au kop de supporters serbes venus en nombre à Marcel-Cerdan.

Parmi les 2 280 spectateurs venus en métropole parisienne figurait une tribune pleine de Grobari, le groupe d’ultras du Partizan Belgrade. Avec eux, l’équipe de Zeljko Obradovic a pu faire son retard après avoir compté jusqu’à 7 points de retard en première mi-temps (33-26).

« Presque partout où nous allons, nous avons nos fans avec nous. Merci à eux, ils sont un soutien incroyable, et ils mettent de l’ambiance à chaque fois. C’est magnifique », commentait le coach adulé Zeljko Obradovic.

La victoire des coleaders du groupe A a été acquise au terme d’un effort collectif sur 40 minutes impulsé par l’ancien de l’Olimpia Milan, Kevin Punter (28 points à 7/14 aux tirs et 12/13 aux lancers), bien aidé par Zach LeDay (15 points, 5 rebonds, 2 contres) et Alen Smailagic (14 points, 4 rebonds).

« Nous avons encaissé 29 points en deuxième mi-temps, c’est bien mieux que les 53 autorisés en première. Grâce à notre intensité défensive retrouvée, nous avons gagné le match, c’est aussi simple que ça », ajoutait l’entraîneur serbe.

Limités en l’absence de Jordan McRae et de Tomer Ginat, les Mets ont à l’inverse subi la hausse de l’intensité physique des Serbes. Seul Keith Hornsby a surnagé (22 points à 8/13 aux tirs, 5 rebonds, 4 passes pour 25 d’évaluation en 33 minutes). Avec un bilan équilibré (3-3), Boulogne-Levallois tombe au 6e rang.

« Nous avons raté quelques tirs au début de deuxième mi-temps, puis nous avons arrêté de jouer drive and kick. Nous étions un peu égoïstes, voulant aller jusqu’au bout. Je pense que c’est parce que nous étions fatigués », regrette le coach Vincent Collet.

Photo : David Michineau (Olivier d’Almeida / Metropolitans)

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