Joueur dominant du championnat de France, au sein duquel il est revenu après une saison en Espagne, c’est sous les couleurs d’Orléans que Youssou Ndoye (2,11 m, 30 ans) tutoie les sommets en termes de statistiques. De quoi lui permettre de rêver plus haut, lui qui doit tout à ses parents, à l’académie qu’il a intégré plus jeune et à sa volonté de devenir meilleur chaque jour.
« Mi-temps avec » est une interview composée de quatre quart-temps avec un acteur du basket français et européen, de son début de carrière à ses projets futurs en passant par sa vision du championnat… et un quiz 100 % personnalisé. Pour consulter cet article dans son intégralité, abonnez-vous.
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QT1 – Dans le rétroviseur : « Gorgui Dieng et Zach Peacock m’ont énormément aidé »
La personne sans qui vous n’auriez pas fait carrière ?
« Premièrement, je dirais mes parents parce que ce sont eux qui m’ont poussé à faire du basket. Notamment du côté de ma mère, où elles ont toutes joué au basket à un niveau international. On me disait tout le temps qu’il fallait que j’y aille, parce que j’aimais le sport, que j’étais grand, etc. Je devais avoir 16 ou 17 ans et je ne faisais que du foot, parce que tout mes amis faisaient du foot et qu’à l’époque, dans mon pays, c’était plus facile de faire du foot que du basket. Mais ma mère voulait que quelqu’un reprenne le flambeau entre guillemets, alors elle m’a amené à SEEDS Academy (NDLR : Sport for Education and Economic Developpement in Sénégal), qui a été créée par Amadou Gallo Fall (NDLR : l’actuel Président de la BAL, ligue africaine de basketball). C’est là-bas que j’ai vraiment commencé le basket, trop tard peut-être mais ça a aussi des avantages parce que tu as envie de rattraper ton retard, coûte que coûte, et puis mes jambes me remercient d’avoir commencé plus tard (rires). Mais c’est surtout là-bas que j’ai rencontré le premier coach qui a cru en moi. »
Justement, quels sont les coachs qui vous ont le plus marqué ?
« Il y en a beaucoup…
Photo : Youssou Ndoye (FIBA)