Plus gros budget de l’histoire du championnat de France, l’ASVEL voit plus grand depuis l’arrivée de l’Euroleague lors de la saison 2019-2020, et cela s’en ressent notamment dans sa billetterie. Alors que l’ASVEL reçoit l’Olympiakos vendredi soir (20h) et que sa nouvelle salle sera livrée fin 2023, le directeur commercial Christophe Just explique l’évolution présente et future d’un club qui aspire à dominer sur la scène française et européenne.
En 2019-2020, l’ASVEL signait son grand retour en Euroleague. Deux ans plus tard, à l’été 2021, le club le plus titré de l’histoire du championnat de France officialisait sa licence permanente dans la plus influente des coupes d’Europe pour y assurer sa présence sportive sur le long terme, avec le plus gros budget de l’histoire d’un club français. De nombreux changements en ont découlé, à tous les étages du club. Notamment au niveau commercial, et spécifiquement à hauteur de la gestion de la billetterie, pour passer de l’organisation d’une vingtaine de matches par saison, championnat et Eurocup compris dans l’ancienne formule, à au moins 34 cette saison, hors playoffs et coupe de France.
« On a été surpris de l’adhésion massive des spectateurs à l’Euroleague, explique le directeur commercial de l’ASVEL Christophe Just. Il y a un engouement, on le savait, on s’y était préparé lors de la saison avant Covid en 2019-2020, mais c’est bien au-dessus de nos espérances. Certains matches se sont remplis instantanément sans besoin de quelconque action de notre part, comme si on était en playoffs du championnat de France. » Lors de cette saison 2021-2022, pourtant perturbée par les restrictions sanitaires, le taux de remplissage de l’Astroballe (5 560 places) est compris…
Photo : Astroballe / ASVEL (Infinity Nine Media)