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Vassilis Spanoulis : « J’étais dur avec moi-même et quand je m’étais fixé un objectif, je faisais tout pour l’atteindre »

L’Euroleague a réuni Tony Parker, le Grec Vassilis Spanoulis et la mère du Serbe Luka Doncic, Mirjam Poterbin, dans la vidéo « Table Talk: Life of a Prospect ». Le trois invités donnent des conseils aux enfants pour réussir dans le basket.

L’Euroleague a réuni Tony Parker, le Grec Vassilis Spanoulis et la mère du Serbe Luka Doncic, Mirjam Poterbin, dans  la vidéo « Table Talk: Life of a Prospect ». Le trois invités donnent des conseils aux enfants pour réussir dans le basket.

Tony Parker parle ainsi de l’importance que la famille doit jouer dans l’ascension d’un prospect :

« Ma mère m’a toujours aidé à trouver le juste milieu. »

La mère de Luka Doncic a accompagné son fils lorsque, adolescent, il a signé pour le Real Madrid.

« J’ai essayé de le protéger autant que possible. Je pense qu’il est également très important que (les jeunes athlètes) s’expriment. Je pense que parfois les enfants sont très timides pour dire ce qu’ils ressentent. »

Vassilis Spanoulis a parlé de son amour du jeu et de son rapport à l’argent :

« Nous ne nous soucions pas de l’argent ; nous n’avions même pas pensé à comment gagner de l’argent… Tout ce à quoi nous pensions, c’est comment devenir un meilleur joueur. Je recommande aux joueurs adolescents d’être humbles et surtout d’aimer le basket-ball et d’aimer travailler. J’ai toujours voulu être un joueur. Je voulais jouer au basket professionnellement. Le basket était mon amour. J’ai des enfants maintenant et je ne veux pas les pousser là-dedans. Ils doivent aimer ça. J’avais des rêves et des ambitions et je voulais être le meilleur possible. »

Il a également fait une référence à la fameuse pression du sportif à l’époque où il jouait :

» Je n’avais pas de pression en jouant au basket, car j’ai eu la chance de faire ça par amour. Beaucoup de gens dans leur vie font d’autres boulots pour survivre. Après un mauvais match ou un mauvais entraînement, je réfléchissais à ce sur quoi je devais travailler pour m’améliorer. Je n’ai pas perdu confiance en mes capacités ni en la confiance en moi. J’étais dur avec moi-même et quand je m’étais fixé un objectif, je faisais tout pour l’atteindre ».

Photo : Vassilis Spanoulis (Euroleague)

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