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EuroBasket : Rudy Gobert décidera de sa présence après les playoffs NBA

Le pivot titulaire des Bleus Rudy Gobert prendra le temps de la réflexion après les playoffs NBA pour décider s’il disputera ou non l’Euro 2022.

Le pivot titulaire des Bleus Rudy Gobert prendra le temps de la réflexion après les playoffs NBA pour décider s’il disputera ou non l’Euro 2022.

Après les annonces successives des forfaits de Nando De Colo et du capitaine Nicolas Batum pour l’EuroBasket 2022 en Allemagne, Italie, Géorgie et République Tchèque (phase finale en Allemagne) du 1er au 18 septembre prochain, les Français de NBA continuent d’annoncer leur présence ou non pour l’événement. Si Evan Fournier souhaite jouer avec les Bleus et Théo Maledon a noté qu’il se rendait disponible dans l’éventualité d’une sélection, Rudy Gobert n’a pas encore tranché.

Le pivot titulaire des Bleus (2,16 m, 29 ans) l’a annoncé à l’occasion d’un événement caritatif dans le cadre de son partenariat avec Yop, organisé à Sèvres (Hauts-de-Seine) où 61 700 euros ont été levés pour sa fondation (Rudy’s Kids Foundation) et qui serviront notamment à la rénovation du terrain sur lequel Gobzilla jouait, enfant, dans sa ville natale de Saint-Quentin (Aisne).

« Pour l’instant, j’ai la tête aux playoffs NBA avec Utah. Je n’ai pas pris de décision. On verra comment je serai, psychologiquement et physiquement », a-t-il annoncé à L’Equipe.

Paris 2024 : « On peut légitimement espérer que notre sport et nos athlètes soient traités avec un peu plus de respect »

Le pivot français du Utah Jazz prendra le temps de la réflexion, après les playoffs NBA, qu’il entame ce weekend contre Dallas, pour décider si oui ou non il disputera l’Euro 2022 avec les Bleus. D’ici là, il espère remporter le titre de meilleur défenseur de l’année pour la quatrième fois et ainsi revenir à hauteur de Ben Wallace et Dikembe Mutombo.

L’ancien Choletais est également revenu sur la polémique du choix de la salle pour la phase 1 de basket aux JO de Paris 2024.

« C’est bien que ces conversations aient eu lieu, qu’on se soit rendu compte qu’il était compliqué que le sport collectif numéro un des Jeux soit installé dans les conditions initiales (au hall 6 du parc des Expositions de la porte de Versailles, à Paris). Il y a beaucoup de sports à gérer pour les JO, mais on peut légitimement espérer que notre sport et nos athlètes soient traités avec un peu plus de respect. (…) On rénove le playground de Saint-Quentin, ce sera peut-être là, c’est la surprise ! Je sais qu’à Paris il y a une super salle, l’AccorArena, et qu’avec le basket, elle serait remplie tous les soirs. Alors… »

Photo : Rudy Gobert (FIBA)

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