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Laura Stockton : « Mon père est mon fan numéro 1 »

La légende de la NBA, John Stockton, suit attentivement la carrière de ses enfants. Il a assisté récemment à un match de son fils Michael, à Châlons-en-Champagne. Il s’est rendu plus tard en Espagne pour voir sa fille Laura.

La légende de la NBA, John Stockton, suit attentivement la carrière de ses enfants. Il a assisté récemment à un match de son fils Michael, à Châlons-en-Champagne. Il s’est rendu plus tard en Espagne pour voir sa fille Laura.

Laura Stockton est une meneuse de jeu de 1,76m et 26 ans, qui jouait cette saison pour Estepona Malaga, en deuxième division espagnole. La fille de l’ancien point guard du Utah Jazz en a terminé avec son contrat et ne sait pas où va la mener sa carrière la saison prochaine.

« Je n’ai pas de projets pour le moment. Il est temps de retourner au travail et de voir ce qui se passe la saison prochaine », a t-elle indiqué à El Pais. « J’ai vraiment apprécié l’Espagne et Estepona. Je l’aime et c’est une option pour revenir. Ce que j’ai le plus aimé, c’est que ça me rappelle chez moi (NDLR: elle est nés à Spokane, État de Washington) et qu’il n’y a pas une grande différence culturelle. Les gens sont très sympathiques. En Espagne, ils sont très proches. Je suis revenue pour avoir le feeling que j’avais au lycée. »

La deuxième fille parmi six frères et sœurs a été formée, comme son père, à l’Université Gonzaga. Elle a joué ensuite en Allemagne et à Porto-Rico. Sa sœur Lindsay a pu la conseiller puisqu’elle a stationné cinq ans à Cantabrie en troisième division. En 15 matchs joués avec Estepona, elle a tourné à 7,3 points, 2,3 rebonds 3 passes décisives par match. A propos de son paternel, elle déclare :

« J’aime appartenir à une famille de basketteurs. C’est une bénédiction pour moi, même si j’ai eu des difficultés à cause de cela. Ils m’ont toujours comparé à lui et c’est parfois difficile, en plus de jouer moi-aussi au poste de meneur, mais j’essaie d’être moi-même et de profiter de ce que j’aime. Je suis passionnée de basket, en partie, via ma famille. C’est tellement amusant de pouvoir parler à mes frères et sœurs, qui jouent aussi à l’étranger. Mon père n’entre pas beaucoup dans mon jeu à moins que je ne lui demande conseil. C’est mon fan numéro un, il me soutient toujours et m’encourage. C’est juste parfait, je ne peux pas en demander plus. »

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