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L’Espagne battue mais en progrès : « Nous revenons de Lituanie avec un peu plus de confiance »

Battue pour la troisième fois en quatre matches amicaux, l’Espagne ne s’alarme pas. Son sélectionneur Sergio Scariolo affirme avoir vu « le meilleur match » de ses poulains dans la préparation contre la Lituanie.

Battue pour la troisième fois en quatre matches amicaux, l’Espagne ne s’alarme pas. Son sélectionneur Sergio Scariolo affirme avoir vu « le meilleur match » de ses poulains dans la préparation contre la Lituanie.

Trois défaites en quatre matches de préparation. Avant d’affronter l’Islande et les Pays-Bas à l’occasion des qualifications pour la Coupe du monde, l’Espagne s’est inclinée pour la deuxième fois de suite contre la Lituanie (78-76). Rien d’alarmant pour la Roja, qui se déplaçait sans Willy Hernangomez, Rudy Fernandez et Sergio Llull, et qui, à exception d’une entame ratée (17-25), a semblé maîtriser son sujet.

« Notre équipe n’a pas l’habitude d’être heureuse après une défaite mais je suis tout de même content de l’effort réalisé par mes joueurs et de la façon dont nous avons joué. Il y a eu deux matches en un, celui des cinq premières minutes où nous avons mal joué, et les trente-cinq minutes restantes dans des conditions très compliquées car nous étions menés tout du long et sans l’apport de nos supporters… Et nous avons en quelque sorte gagné ce deuxième match », a expliqué le sélectionneur Sergio Scariolo dans des propos repris par As.

Dans les faits, ces trois défaites, dont deux à l’extérieur, contre la Grèce de Giannis Antetokounmpo et la Lituanie de Domantas Sabonis et Jonas Valanciunas, sont loin d’être catastrophiques pour l’Espagne, qui voit notamment son meneur naturalisé Lorenzo Brown (18 points jeudi soir) prendre ses marques et ses responsabilités.

« De manière générale, je suis ravi de l’attitude de l’équipe. Ce match contre la Lituanie est le meilleur dans le contenu jusqu’à présent, et cela signifie que nous sommes en progrès. Nous revenons de Lituanie avec un peu plus de confiance et aussi des points à travailler. Certains de nos joueurs NBA sont encore loin de s’habituer à la façon de jouer en Europe, ils doivent s’adapter pour vite rattraper le temps perdu. J’ai confiance en eux », a-t-il ajouté.

Photo : Sergio Scariolo (FIBA)

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