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Euroleague : le hold up de Valence et de Chris Jones à l’Olympiakos

Derrière pendant 38 minutes, Valence a renversé l’Olympiakos (82-83) à trois secondes du terme pour engranger un succès de prestige. L’ancien de l’ASVEL Chris Jones a inscrit les trois lancers de la gagne.

Derrière pendant 38 minutes, Valence a renversé l’Olympiakos (82-83) à trois secondes du terme pour engranger un succès de prestige. L’ancien de l’ASVEL Chris Jones a inscrit les trois lancers de la gagne.

Au bon souvenir de la saison dernière. Le même soir où l’ASVEL a réalisé un comeback monumental sur le parquet de la Virtus Bologne, Chris Jones a anéanti l’Olympiakos sur son terrain. Alors que Valence n’avait pas mené depuis la 2e minute de jeu et avait compté jusqu’à 16 unités de retard (53-37), l’équipe espagnole a renversé la vapeur dans les dernières secondes. Dans la lignée de ses dernières sorties, l’ancien Villeurbannais a été étincelant.

Le meneur américain – au passeport arménien – a compilé 17 points à 3/5 derrière l’arc, 7 passes décisives, 3 interceptions et 3 rebonds pour 23 d’évaluation en 25 minutes. Il a surtout inscrit trois lancers francs décisifs à trois secondes de la fin, concluant un 25-11 final renversant. Kostas Sloukas et Alec Peters ont raté les tirs de la dernière chance pour l’Olympiakos, qui s’était détaché nettement avant de subir sa deuxième défaite d’affilée à domicile. Une semaine seulement après celle infligée par Monaco et Elie Okobo, un autre ancien de l’ASVEL.

Georgios Bartzokas : « Je me fais du soucis par rapport au basket qu’on joue »

« C’est frustrant et douloureux mais le basket est un sport qui se joue jusqu’à la dernière seconde. Nous avons flanché mentalement. Nous leur avons donné l’opportunité de revenir. Au final, ce n’est pas une question d’arbitrage, nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous-mêmes. Je me fais du soucis par rapport au basket qu’on joue. On ne doit pas perdre une si grosse avance et être si mauvais défensivement dans les moments chauds », a analysé le coach grec Georgios Bartzokas.

L’Olympiakos (4-2) recevra le Partizan Belgrade (3-3) – qui a laissé ses internationaux serbes partir en sélection – jeudi prochain avec l’objectif de se relancer.

Photo : Chris Jones (Euroleague)

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