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Dominique Wilkins : « Les fans grecs m’ont traité comme si j’étais un dieu »

A la fin de sa riche carrière en NBA, principalement aux Atlanta Hawks, Dominique Wilkins, alias The Human Highlight Film, 63 ans aujourd’hui, est venu en Europe pour jouer avec le Panathinaikos. Cosmote TV lui a demandé d’égrener quelques souvenirs.

A la fin de sa riche carrière en NBA, principalement aux Atlanta Hawks, Dominique Wilkins, alias The Human Highlight Film, 63 ans aujourd’hui, est venu en Europe pour jouer avec le Panathinaikos. Cosmote TV lui a demandé d’égrener quelques souvenirs.

A propos du fait que le coach Bozidar Maljkovic ne lui a pas témoigné de signes d’affection quand il portait le maillot vert du Pana, Dominique Wilkins répond :

« Vous savez… Maljkovic avait cette approche avec tous les membres de l’équipe. Pas seulement avec moi. Je ne l’ai jamais vu embrasser Stojan Vrankovic, Frangiskos Alvertis ou Nikos Oikonomou. La seule fois où il m’a serré dans ses bras, c’était quand nous avons remporté le Championnat d’Europe. Je le regardais comme ça… Qu’est-ce qui se passe là ? C’est la seule fois où il m’a embrassé. »

Toujours à propos de l’ancien coach du Limoges CSP, il a confié :

« Quand je suis arrivé, nous sommes allés dans des montagnes françaises. Il voulait que nous courions presque 5 kilomètres et plus au retour. Le lendemain, au milieu du parcours, je me suis tourné vers lui et je lui ai dit : « Coach, je ne suis pas venu ici pour courir mais pour jouer au basket.«

A la question de savoir ce qu’il retient de son séjour athénien, le 9 fois All-Star est formel :

« C’était parfait. J’ai eu l’occasion de faire beaucoup de choses intéressantes et de visiter de nombreux pays intéressants. Mais là, j’ai joué avec une très bonne équipe. Les fans grecs m’ont traité comme si j’étais un dieu. » Et pour lui, la rivalité entre le Panathinaikos et l’Olympiakos, « c’est l’une des plus grandes au monde. Ces deux organisations se détestent, c’est comme une guerre. Quand je suis allé jouer au SEF (NDLR : le Stade de la Paix et de l’Amitié), il y avait une certaine nervosité. C’est aussi ce qu’ils ont ressenti lorsqu’ils sont venus à l’OAKA ».

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