Verser un bon salaire à un joueur n’implique pas forcément que ses performances soient à la hauteur de ses émoluments. À l’inverse, certains joueurs « cadeau » font plus que rentabiliser l’investissement consenti par le club. Voici donc les principaux « Tops » et « Flops », JFL et étrangers, de la Pro B 2022-23.
Comme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.
Le recrutement, surtout de joueurs étrangers, est souvent un pari. Donner telle somme à tel joueur va-t-il se révéler rentable ? Ou, au contraire, le joueur va-t-il être un « flop » ? Il n’est pas toujours aisé de ranger ces basketteurs dans l’une (les « tops ») ou l’autre (les « flops ») de ces catégories. Cela étant, l’évaluation, cette statistique qui additionne les actions positives d’un joueur (points marqués, rebonds, passes, etc.) et en soustrait les négatives (balles perdues, tirs ratés…), est un bon indicateur de la production, au moins offensive (peu d’actions défensives – hors contres, interceptions et rebonds défensifs – sont pris en compte dans l’évaluation) d’un joueur. Mais cela ne suffit pas à établir sa « rentabilité » – autrement dit de savoir si son activité sur le parquet est a minima conforme avec le salaire qui lui est versé.

C’est pour cela que, même si ce calcul
Photo : Gavin Kensmil – Aix-Maurienne (© SCBVDG) / Gaëtan Meyniel – Lille (© LMB) / Léopold Delaunay – Vichy-Clermont (© JAV – A. Chenevière) (montage Basket Europe)