Championne du monde et MVP de la dernière Coupe d’Europe 3×3, Myriam Djekoundade (1,85 m, 25 ans) s’impose sur tous les terrains. Installée à Villeneuve-d’Ascq depuis l’été 2022, la Guerrière veut désormais remplir son armoire à trophée en 5×5. De son début de carrière à ses ambitions personnelles, l’ailière se confie à Basket Europe.
« Mi-temps avec » est une interview composée de quatre quart-temps avec un acteur du basket français et européen, de son début de carrière à ses projets futurs en passant par sa vision du championnat… et un quiz 100 % personnalisé. Pour consulter cet article dans son intégralité, abonnez-vous.
QT1 – Dans le rétroviseur…
« Le 3×3, au début, je me disais que ce n’était pas fait pour moi »
La personne sans qui vous n’auriez pas fait carrière ?
« Ma maman, c’est elle qui m’a inculqué les bonnes valeurs, qui m’a intéressée à ce sport et au dépassement de soi. Elle m’a accompagné au tout début, là où c’était disons crucial.
Le coach qui vous a le plus marqué ?
Il y en a eu tellement. Chacun marque à sa manière. Même ceux avec qui j’ai eu une expérience négative, ils m’ont apporté dans ma carrière. Sincèrement, je ne peux pas me plaindre mais je ne peux pas en démarquer un. Que ce soit au Pôle Espoir, en Centre de formation, en Minimes France…
La joueuse qui vous a rendu meilleure ?
Récemment ou il y a plus longtemps, j’ai toujours eu des gens bienveillants dans mon entourage. Dans les joueuses qui m’ont rendu meilleure, il y a eu Shona Thorburn à Mondeville, qui a été d’une grande aide. Il y a eu Caroline Aubert, qui est maintenant mon agent. Kimberley Gaucher également car son jeu m’a beaucoup inspiré. C’est une liste non exhaustive car, en réalité, il y en a tellement !
Le meilleur souvenir de votre carrière ?
La victoire lors de la Coupe du monde 2022 en 3×3. Toute la campagne avait été vraiment géniale car…
Photo : Myriam Djekoundade (FIBA)