Pour sa deuxième saison en Betclic Elite, Milan Barbitch a quitté son cocon parisien pour rejoindre Fos Provence. Une émancipation réussie symbolisée par des statistiques en hausse et plus de responsabilités. À quatre journées de la fin de la saison, le joueur de 21 ans veut maintenant assurer le maintien du club provençal en première division.
QT1 – Dans le rétroviseur
« Mon record de tirs à trois points de suite à l’entrainement ? 45 ! »
La personne sans qui vous n’auriez pas fait carrière dans le basket ?
Je n’aurais pas fait carrière dans le basket sans mon père (NDLR : Yann Barbitch a été joueur, président du syndicat des joueurs, et il est manager adjoint de l’équipe de France). Il a été dans ce milieu, il m’a coaché, m’a aidé tout au long de mon parcours. C’est une évidence.
Le coach qui vous a le plus marqué ?
Il y en a eu plusieurs mais si je ne dois en choisir qu’un, je dirais Michaël Alard. C’était mon coach quand j’étais en U15, à Nanterre. Comment dire… Il avait une approche peu académique, un peu décalée. On avait 15 ans, mais c’était lui qui était plus « gamin » que nous (rires). On a beaucoup rigolé avec lui cette année-là.
Le match le plus mémorable que vous avez joué ?
Mon match contre Milan, en préparation de la saison dernière avec le Paris Basketball. C’était une équipe d’Euroleague et j’ai joué
Photo : Milan Barbitch (Tuan Nguyen)