Engagé dans une course au maintien plus serrée que jamais, l’Elan Béarnais a dû s’incliner ce vendredi à Dijon (80-68). Une défaite qui conclut une semaine globalement positive alors que la « finale pour le maintien » se profile pour les Palois contre Nancy la semaine prochaine.
Jamais deux sans trois ? Les Palois espéraient que le proverbe se vérifie ce vendredi soir pour leur permettre de valider une improbable semaine à trois victoires contre des équipes du top 5. Vainqueurs de la JL Bourg et de l’ASVEL dans les Pyrénées-Atlantiques il y a quelques jours, les Béarnais n’ont cette fois pas trouvé les ressources nécessaires pour s’imposer à Dijon, comme l’a expliqué Eric Bartecheky en conférence de presse d’après-match. « C’était notre troisième match en six jours avec des joueurs qui ont joué énormément sur les deux rencontres précédentes, comme Michael Stockton. Ça nous complique la tâche, surtout ici contre une équipe qui n’est jamais facile à jouer, mais on s’est battus. On prend 80 points à l’extérieur parce que, sur la fin, on prend des risques. Donc ce n’était pas trop mauvais ».
Débordés par l’intensité dijonnaise en milieu de premier quart-temps, Giovan Oniangue et ses coéquipiers se sont accrochés jusqu’à la mi-temps en profitant notamment de la domination de Vitalis Chikoko sous le panier (14 points à la pause). Un schéma que les Palois ne sont pas parvenus à répéter dans les 20 dernières minutes, comme l’a confirmé Gérald Ayayi : « On avait les cartes en main pour prendre ce match mais…
Photo : Eric Bartecheky et ses joueurs (Jacques Cormarèche)