Après avoir commencé le basket en club à 19 ans, Jacques Alingue a su se frayer un chemin jusqu’à l’élite du basket français. À 35 ans, l’intérieur français est maintenant reconnu comme un défenseur de premier plan et un joueur emblématique de la JDA Dijon, évoluant au rythme de la progression de son club. Il revient sur ses souvenirs, parle de la saison de son équipe et se projette vers l’avenir.
QT1 – Dans le rétroviseur
« Mon numéro 10 ? Je le porte en hommage à mon fils »
La personne sans qui vous ne seriez pas devenu basketteur professionnel ?
Michaël Nachon. C’est mon premier coach en club, en NM3. Il est venu me chercher sur les terrains de streetball, j’ai fait deux saisons avec lui à Haguenau. Avant, je ne faisais que du streetball sur le terrain de la Citadelle à Strasbourg. C’est lui qui m’a amené sur la voie du basket en club.
Le match le plus mémorable que vous avez joué ?
C’était le match de la montée en Pro B, quand j’étais en Nationale 1 avec Souffelweyersheim. C’était un gros match contre Blois (87-81), on est allé en prolongation et on a gagné donc c’était forcément un très grand souvenir.
Un coéquipier qui vous a rendu meilleur ?
Je dirais Andre Harris, avec qui j’ai joué à Dijon (NDLR : saison 2014-2015). Il me parlait beaucoup, il était derrière moi, il me conseillait beaucoup. C’était ma première année en première division et il m’a vraiment guidé dans ma découverte du plus haut niveau…
Photo : Jacques Alingue contre le PAOK en Basketball Champions League (FIBA)