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Sergio Scariolo, coach de Bologne : « Je ne me souviens pas d’autant d’erreurs de la part des arbitres dans une dernière minute d’un match »

Le coach de la Virtus Bologne, Sergio Scariolo, a tonné contre l’arbitrage après la défaite de son équipe face à Olympiakos (83-85).

Le coach de la Virtus Bologne, Sergio Scariolo, a tonné contre l’arbitrage après la défaite de son équipe face à Olympiakos (83-85).

Ce sont quelques coups de sifflet douteux qui ont mis en rage le coach italien dont l’un à l’encontre de Semi Ojeleye qui a amené le meneur serbe Milos Teodosic a sortir de ses gonds et à écoper de deux fautes techniques.

« L’Olympiakos est une grande équipe, avec les meilleurs joueurs européens et une mentalité solide. Mais je suis vraiment fier du caractère de mes joueurs : on a perdu mais ils ont fait preuve de fierté et de caractère, même lorsqu’ils étaient menés au score. Les entraîneurs et les joueurs peuvent faire des erreurs mais je ne me souviens pas d’autant d’erreurs de la part des arbitres dans une dernière minute d’un match, et je suis vieux. L’expulsion de Teodosic ? Milos est Milos, on le prend pour les grandes choses qu’il fait et on le prend quand il devient un peu nerveux, on ne peut pas et on ne veut pas le changer, on le prend tel qu’il est. Cette soirée est difficile à digérer : une mauvaise série de nombreuses coïncidences dans la fin de partie. Nous sommes des rookies, il faut savoir avaler ça. Ce soir on a capté plus de rebonds, on a fait plus de passes décisives, il y a beaucoup de choses positives. Certains joueurs ont donné plusieurs signaux positifs. Nous aurions aimé sortir avec le sourire mais il y a des raisons de considérer cette soirée comme positive. »

Dans la bataille des pivots français, Moustapha Fall (5 points, 4 passes, 3 rebonds en 24 minutes) a pris le dessus sur Mam Jaiteh (2 points, 3 rebonds en 11′). Pour son retour à la compétition, Isaïa Cordinier a joué 14 minutes pour 6 points et 3 rebonds.

Photo : FIBA

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