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Freddy Fauthoux (Levallois): « Boulazac mérite largement sa victoire »

Déçu les Levalloisiens suite à l’élimination en demi-finale de Coupe de France par Boulazac, mais les blessures de deux membres du cinq majeur, Klemen Prepelic et Louis Campbell sont des circonstances atténuantes.

Déçu les Levalloisiens suite à l’élimination en demi-finale de Coupe de France par Boulazac, mais les blessures de deux membres du cinq majeur, Klemen Prepelic et Louis Campbell sont des circonstances atténuantes.

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Sur le déroulé du match :

Petr Cornelie : « On est rentré dans le match en sachant que c’est une vraie équipe de Pro A. On les a rencontrés il y a deux semaines en Jeep Elite et on savait que c’est une équipe forte. On avait eu un peu de mal à gagner. Je ne dirai pas que l’on a pris le match à la légère mais on n’a pas joué 40 minutes. Au moment où l’on doit tuer le match, il y a un gros trou et du coup eux reprennent le dessus et après on n’arrive plus à revenir, par manque d’adresse. Je ne pense pas que ça soit un coup de fatigue, on se déconcentre un peu. On a dix points d’avance, je ne dis pas que l’on se dit que c’est gagné, mais on se dit « on a fait le break, on va pouvoir continuer. » Le truc, c’est que l’on ne continue pas. On prend deux, trois contre-attaques, deux, trois paniers à trois-points. Ils reviennent dans le match et derrière on ne met pas ce qu’il faut pour rattraper. Ça ne pardonne pas. »

Freddy Fauthoux :

« On a levé le pied un peu physiquement. Déjà hier il a fallu batailler pour se qualifier (NDLR : contre Orléans). C’est l’une des causes du relâchement et pour gagner contre des équipes comme Boulazac qui ont un gros roster, il faut être prêt pendant quarante minutes et nous on a lâché trois replis défensifs, ils ont mis des paniers à trois-points, ça les a mis en confiance et on les a laissés nous prendre ce match-là. »

Sur l’intégration de Jaron Johnson (1,98m, 25 ans):

Freddy Fauthoux : « Je pense que vous avez remarqué que c’est la situation générale qui n’est pas facile pour nous actuellement. Je n’en parle pas comme excuse mais c’est un fait. On perd l’un des meilleurs marqueurs du championnat il y a huit jours. On perd notre capitaine, notre leader hier soir. Jaron sur deux entraînements et un deuxième match, il a apporté ce que j’avais envie qu’il apporte au groupe. Il ne connaît pas encore bien ses coéquipiers donc on reconstruit le collectif. C’est chiant parce qu’avant c’était pépère, on était plutôt bien. On avait trouvé les automatismes. Là, il faut les retrouver et ce n’est pas simple. Donc, oui, il a apporté ce qu’il fallait mais un petit peu dans un cafouillis, pas quelque chose de très organisé. »

Le niveau de Boulazac vis-à-vis d’y il y a 15 jours :

Freddy Fauthoux : « Cette équipe et celle que l’on a joué il y a quinze jours n’est pas la même que celle d’il y a trois mois. Ils ont maintenant le roster pour faire les matches comme ils ont fait aujourd’hui alors que nous a contrario on a deux mecs en moins (Klemen Prepelic et Louis Campbell). Ce n’est pas une excuse mais Boulazac a l’effectif, un, pour se sauver en Pro A, et deux pour nous battre ce soir car là il n’y a pas photo, ils méritent largement notre victoire.

Peter Cornelie à propos de son bon tournoi suite à un retour d’une longue blessure :

Petr Cornelie : « J’essaye de bien revenir. Je me sens de mieux en mieux que ce soit physiquement et dans le collectif. Ce n’est pas facile de revenir après trois mois dans un collectif qui a déjà joué ensemble. J’étais content de mon match d’hier, je suis moins content de celui d’aujourd’hui. »

Sur la blessure de Louis Campbell :

Frédéric Fauthoux : « Il passe une IRM demain matin et on en saura plus sur son indisponibilité. On espère récupérer Klemen pour le match du Mans dimanche. »

Photo: Jaron Johnson (Hervé Bellenger/FFBB)

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Sur le déroulé du match :

Petr Cornelie : « On est rentré dans le match en sachant que c’est une vraie équipe de Pro A. On les a rencontrés il y a deux semaines en Jeep Elite et on savait que c’est une équipe forte. On avait eu un peu de mal à gagner. Je ne dirai pas que l’on a pris le match à la légère mais on n’a pas joué 40 minutes. Au moment où l’on doit tuer le match, il y a un gros trou et du coup eux reprennent le dessus et après on n’arrive plus à revenir, par manque d’adresse. Je ne pense pas que ça soit un coup de fatigue, on se déconcentre un peu. On a dix points d’avance, je ne dis pas que l’on se dit que c’est gagné, mais on se dit « on a fait le break, on va pouvoir continuer. »

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