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Interview Nobel Boungou-colo : « C’est une revanche pour moi de retourner en Espagne »

En pige à Levallois depuis mi-janvier pour remplacer Rasheed Sulaimon, Nobel Bougnou-colo (2,02m, 30 ans) s’est relancé dans le club des Hauts-de-Seine avant de signer en Espagne jusqu’à la fin de la saison à la Joventut Badalone (7e de l’ACB avec 11 victoires et 8 défaites), une fois la Leaders Cup

En pige à Levallois depuis mi-janvier pour remplacer Rasheed Sulaimon, Nobel Bougnou-colo (2,02m, 30 ans) s’est relancé dans le club des Hauts-de-Seine avant de signer en Espagne jusqu’à la fin de la saison à la Joventut Badalone (7e de l’ACB avec 11 victoires et 8 défaites), une fois la Leaders Cup terminée. Nous avons profité du passage des Metropolitans à la Disneyland Paris Leaders Cup pour poser quelques questions à l’ancien limougeaud sur la première partie de la saison 2018/19.

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N’était-ce pas trop compliqué d’arriver à Levallois en cours de saison et de ne pas avoir joué avant ?

Compliqué non parce que j’ai quand même réussi à me mettre en forme juste avant mon arrivée. J’ai repris avec le Paris Basketball. Je me suis entraîné avec eux, ils se sont très bien occupés de moi, comme si j’étais un de leurs joueurs sous contrat sauf que je ne jouais pas les matchs. Ça m’a permis d’arriver en forme à Levallois et de ne pas être à la rue physiquement, ou presque (sourire).

N’avez-vous pas été tenté de signer au Paris Basketball ?

C’est vrai que Paris m’a fait des clins d’œil, mais pour moi c’était difficile de signer en Pro B mais je suis ouvert à la discussion donc on a quand même pris le temps de parler. C’était difficile d’accepter une offre en Pro B.

Vous m’aviez dit vous sentir bien à Turin, il n’y avait pas de possibilité de prolongation ?

On s’est parlés au moment où on gagne la coupe d’Italie, c’était un peu l’euphorie à Turin. Tout se passait très bien, on était cinquième du classement, mais on a très mal terminé. Juste après on enchaîne les défaites. On passe de cinquième à dixième. Et surtout, à Turin j’étais bien et j’étais parti pour jouer 3 et 4, et je me suis retrouvé à jouer uniquement 4 alors que mon poste de prédilection c’est le 3. J’ai eu un petit désavantage là-dessus. Ça s’est mal terminé malheureusement mais on a quand même pris la coupe d’Italie donc je retiens ça. Leur saison actuelle est d’ailleurs à l’image de la fin de saison dernière, c’est un club qui a besoin de progresser sur plein de points.

Qu’attendez-vous de votre fin de saison en Espagne ?

J’ai envie de racheter mon image en Espagne parce qu’à Séville ça ne s’est pas très bien passé (ndlr, il a disputé neuf matchs pour 13 points et 4 rebonds). Le club a un peu essayé de salir mon image donc c’est un peu une revanche de retourner en Espagne. C’est un bon un challenge. Je pense que je serai dans de bonnes conditions parce qu’un de mes anciens coéquipiers du Khimki Moscou est là-bas (ndlr, Marko Todorovic). Je pense que ça sera bénéfique pour moi d’essayer de bien jouer dans le meilleur championnat d’Europe.

Nobel Boungou-colo va faire ses débuts ce soir avec la Joventut à Fuenlabrara.

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N’était-ce pas trop compliqué d’arriver à Levallois en cours de saison et de ne pas avoir joué avant ?

Compliqué non parce que j’ai quand même réussi à me mettre en forme juste avant mon arrivée. J’ai repris avec le Paris Basketball. Je me suis entraîné avec eux, ils se sont très bien occupés de moi, comme si j’étais un de leurs joueurs sous contrat sauf que je ne jouais pas les matchs. Ça m’a permis d’arriver en forme à Levallois et de ne pas être à la rue physiquement, ou presque (sourire).[/arm_restrict_content]

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Photo : Karen Mandau

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