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[REDIFF] En direct avec Mickaël Gelabale (Elan Chalon) : « A Limoges, c’est un public énorme. Ils sont fous ! »

Le Chalonnais Mickael Gelabale (2,01m, 36 ans) fait partie des meubles en Jeep Elite. Il a répondu aux questions du « En direct ».

Le Chalonnais Mickael Gelabale (2,01m, 36 ans) fait partie des meubles en Jeep Elite. Il a répondu aux questions du « En direct ».

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Votre premier match en pro :

Ça remonte ! C’était avec Cholet, ça je suis sûr de ne pas mentir (rires). Mais je ne m’en souviens pas (NDLR: lors de la saison 2001-02, Mickaël Gelabale a participé à 6 matches de Pro A/Jeep Eite et il a joué 4 minutes dès la première journée, le 6 octobre 2001, face à Levallois).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il n’y en a pas en particulier. Tous mes coéqupiers, tous mes coachs. Il fallait écouter les anciens et essayer de mettre en pratique ce que le coach demandait.

Celui qui parle/râle le plus :

C’est moi ! (sourire)

Le coach qui vous a le plus marqué :

Božidar Maljković (NDLR: champion d’Europe avec Limoges en 1993). C’est l’école serbe. C’est de la préparation physique toute l’année. Après chaque entrainement tu fais des allers-retours pour rien (rires). T’es déjà en forme mais toute l’année tu fais ça.

Le club dans lequel vous auriez rêvé jouer :

Chez les Chicago Bulls. Ça aurait été bien. Je ne dis pas parce que j’aime particulièrement Chicago, mais parce que le joueur que j’adorais jouait là-bas : Scottie Pippen.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

C’est à Limoges. C’est un public énorme, ils sont fous ! Quand tu joues là-bas, c’est extraordinaire. En tant que visiteur, je dirais la salle du Panathinaïkos. J’ai pu jouer là-bas quand j’étais au Real Madrid, c’est quelque chose.

Le pire souvenir en carrière :

2005. La défaite en demi-finale de l’Eurobasket contre la Grèce avec l’équipe de France (NDLR: sur un dunk de Boris Diaw, l’équipe de France menait de 7 points à 43 secondes de la fin (62-57) mais a perdu le match 66-67.)

Le meilleur souvenir :

Toutes les médailles que j’ai gagnées, tous les titres. C’est que du bonheur, c’est du plus. Si je devais en mettre un au-dessus des autres, je dirais le tout premier. On a remporté le championnat d’Espagne avec le Real Madrid, c’était mon premier titre en pro, en plus à l’étranger. Ça faisait un moment que le Real n’avait pas gagné quelque chose donc quand on l’a fait c’était un peu un exploit.

Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :

Ray Allen, Kevin Durant… On peut dire Kobe Bryant ? Parce que j’ai fait deux matchs de présaison avec les Lakers.

L’adversaire le plus coriace :

Kobe !

Votre move préféré :

Le fadeaway. C’est devenu le fadeaway parce qu’avant je n’en faisais pas du tout, mais quand je me suis blessé au genou et que je ne pouvais pas forcément courir, je prenais la balle et j’ai essayé le fadeaway puis c’est devenu la base de mon basket.

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

Le shoot de Stephen Curry et les dribbles de Kyrie Irving.

Pourquoi le numéro 15 :

Pour Vince Carter.

Le joueur le plus drôle de l’équipe :

Ousmane Camara.

https://www.youtube.com/watch?v=TjdRPtIXaHs

Votre meilleur pote dans le basket :

Florent Pietrus.

Si vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

Je prendrais mon frère, ma sœur, mon cousin JR et je mettrais Flo Pietrus.

La ville où vous avez joué que vous préférez :

Seattle (NDLR: Il a joué aux Supersonics de 2006 à 2008. La saison suivante, la franchise a été délocalisée à Oklahoma City et a pris le nom de Thunder).

Principale occupation entre deux entraînements :

Jouer de la batterie, faire à manger.

Si vous ne jouiez pas au basket :

J’aurais été cuisinier.

Après le basket :

Lifer (ndlr, profiter de la vie) ça marche ?

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Votre premier match en pro :

Ça remonte ! C’était avec Cholet, ça je suis sûr de ne pas mentir (rires). Mais je ne m’en souviens pas (NDLR: lors de la saison 2001-02, Mickaël a fait 6 matches avec Cholet Basket).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il n’y en a pas en particulier. Tous mes coéqupiers, tous mes coachs. Il fallait écouter les anciens et essayer de mettre en pratique ce que le coach demandait.

Celui qui parle/râle le plus :

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Photo : Charlotte Geoffray

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