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Cholet et la Michael Stockton dépendance

On était impatient de voir à l’oeuvre Chris Horton face à son ancienne équipe de Gravelines et cette fois dans le camp de Cholet mais le face à face n’a pas eu lieu. Le pivot américain a été testé positif au COVID-19 le lundi puis… négatif le mardi. La Ligue a refusé qu’il soit aligné… Continue read

On était impatient de voir à l’oeuvre Chris Horton face à son ancienne équipe de Gravelines et cette fois dans le camp de Cholet mais le face à face n’a pas eu lieu. Le pivot américain a été testé positif au COVID-19 le lundi puis… négatif le mardi. La Ligue a refusé qu’il soit aligné dans l’effectif de l’équipe du Maine-et-Loire à Sportica.

Est-ce à cause de l’absence de Chris Horton que le puissant Belge du BCM, Khalid Boukichou a fait un festival offensif avec 23 points à 7/9 aux shoots ? Est-ce aussi pour cette raison que Cholet Basket a donné le trousseau de clés du match à son meneur américain, Michael Stockton (1,85m, 31 ans). Celui-ci a joué 42 minutes et a presque tout réussi (32 points à 14/17 aux tirs du champ, 7 passes, 36 d’évaluation), sauf, très curieusement, ses lancers-francs (1/5) dont deux décisifs dans le temps réglementaire.

Des lancers, Cholet Basket en a lâché 13 sur 28 alors que Gravelines en a marqué 23 sur 26.

C’est ainsi que les Choletais n’ont pu faire la différence en 40 minutes (76-76) avant de lâcher prise en prolongations (100-96).

« Encaissser 24 points en 5 minutes de prolongation, c’est inacceptable », rageait le fils de la légende John Stockton en conférence de presse, propos rapportés par Le Courrier de l’Ouest. « Ce soir, on n’a pas montré les caractéristiques d’une équipe qui gagne. Notre force mentale est tombée en panne. »

Le Courrier de l’Ouest parle de « Stockton dépendance » et avance un chiffre qui dit tout: lorsque celui-ci s’est retrouvé sur le banc, Cholet encaissa un 14-2 en quatre minutes !

Photo: Michael Stockton (CB)

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