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Zvezdan Mitrovic (Monaco) : « c’est plus facile de coacher en Jeep Elite maintenant qu’à mes débuts »

A l’occasion de son 51e anniversaire, le site de l’AS Monaco a interviewé son coach Zvedan Mitrovic.

A l’occasion de son 51e anniversaire, le site de l’AS Monaco a interviewé son coach Zvedan Mitrovic.

Tout d’abord Coach Z, comme on l’appelle dans la Principauté, se dit heureux de se retrouver à la tête de la Roca Team après ses deux saisons à l’ASVEL.

« C’était un vrai plaisir, ça s’est évidemment bien passé. Vous savez je considère Monaco comme ma deuxième maison. Je me sens très bien ici, particulièrement dans ces moments difficiles pour tout le monde. À Monaco, il fait bon d’y vivre. C’est un coin de quiétude, bien qu’on soit confronté à toutes les incertitudes liées au virus dans nos vies. C’est l’un des meilleurs endroits à être sur terre ! (rires) C’est vraiment très plaisant d’être ici, c’est au-delà du professionnel. Il y a, à Monaco, une partie de ma vie et de mes amis.«

A propos des progrès offensifs de son équipe, il explique :

« C’est un tout ! Vous le savez, on a la meilleure équipe en défense de la compétition. Une fois arrivés dans le top 16 d’EuroCup, on devait améliorer notre attaque. L’une des explications, c’est la signature de Rob Gray, un joueur très offensif, qui nous a aidé en attaque. Il fait peser une menace constante sur nos adversaires. Il nous aide en attaque mais globalement l’équipe se connaît mieux. Forcément, ça se ressent en attaque où des automatismes ont été créés. Ce temps d’adaptation était inévitable, surtout quand il y a de nouveaux joueurs dans l’équipe. Dans le sport, les joueurs ont besoin de se connaître entre eux pour mieux jouer, plus se trouver en transition, être plus efficace. C’est la principale explication. Mais tous ces bons résultats sont surtout expliqués par notre défense. »

Sur un plan personnel, le fougueux Monténégrin estime qu’il a gagné en expérience:


« Désormais je connais bien le championnat français, c’est plus facile de coacher en JeepElite maintenant qu’à mes débuts. C’est ma sixième saison dans le championnat. Pour l’EuroCup c’est différent, j’y avais déjà coaché avant. Ma carrière est longue, j’ai appris de chaque expérience. Année par année tu essayes de travailler sur différents points car tu dois t’améliorer. Il faut regarder ce qui se fait ailleurs aussi. Là, par exemple, je suis devant un match d’EuroLeague (ndlr : Khimki – Baskonia). Je dois rester à l’affut de ce qui se fait de nouveau. Tout coach qui veut gagner, doit être en mesure de suivre les dernières méthodes de travail. C’est le rôle de l’entraîneur de comprendre le basket moderne, savoir ce qui se fait en Europe, ou en NBA et NCAA aussi évidemment.«

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