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Adrien Moerman (Monaco) : « Etre outsider c’est bien, il y a moins de pression »

Nouvelle recrue du club, Adrien Moerman (2,02 m, 34 ans) a répondu aux interrogations des fans de l’AS Monaco sur son site. Voici ce qu’il a déclaré.

Nouvelle recrue du club, Adrien Moerman (2,02 m, 34 ans) a répondu aux interrogations des fans de l’AS Monaco sur son site. Voici ce qu’il a déclaré.

Sur la possibilité de la Roca Team de faire mieux que l’an dernier (finaliste de la Betclic Elite, quart-de-finaliste de l’Euroleague) :
Je pense que oui. C’est un club qui a grandi très vite et qui fait de grands exploits. En suivant cette équipe, on se rend compte qu’il y a quelque chose d’extraordinaire. Les dirigeants ont mis les moyens pour recruter des joueurs de haut niveau, en gardant une ossature très compétitive. La cohésion est le facteur le plus important pour réussir. Je pense qu’avec ces gars, on veut tous aller dans la même direction. Si la mayonnaise prend comme il faut, on fera quelque chose de bien.

Sur les raisons de son choix de rejoindre l’ASM :
Après le back to back que j’ai fait avec Efes en Euroleague, je voulais changer d’horizon et me fixer un nouveau challenge personnel. Il fallait que je sorte de cette zone de confort que j’avais avec l’Andalou. Monaco avait des ambitions très claires de vouloir aller le plus loin possible ne Euroleague. Je sens que c’est un groupe très compétitif et de fort caractère. Pour moi, c’était la destination où je devais aller. Quand je viens, c’est pour gagner des titres, je suis un compétiteur dans l’âme. Je veux donner ça à la Principauté. On a l’équipe pour aller jusqu’au bout.

Sur ses objectifs :
Avec Efes, j’ai vécu une histoire fantastique, comme tous les joueurs peuvent en rêver. Je n’oublierai jamais, c’est gravé en moi. Mes ambitions sont simples. Je veux amener à Monaco des titres, gagner le championnat de France, et faire encore mieux en Euroleague que l’an passé. Je vais apporter mon expérience, et je veux aussi prouver d’un point de vue basket sur le terrain. Ce qui change, c’est qu’ici à Monaco pour moi c’est tout nouveau. C’est comme une rentrée des classes. Etre outsider c’est bien, il y a moins de pression.

Photo : Manuel Vitali / Direction de la communication

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