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Après Bourg, l'Elan Béarnais vient de mettre 48 heures plus tard l'ASVEL à son tableau de chasse (87-83), mais tout reste à faire pour se maintenir dans l'élite.

La mathématique est implacable : malgré son exploit face à l'ASVEL, Pau est ce matin toujours relégable.  La faute aux victoires de Blois et Nancy. Et il ne reste plus que quatre journées pour sauver les meubles.

« On avait besoin de trouver ce match qui allait nous débloquer, il est arrivé avec Bourg », a commenté Gérald Ayayi, propos lus dans La République des Pyrénées. « On a affiché le même état d’esprit, la même énergie, la même intensité en ayant les ressources mentales pour reproduire une grosse performance.  Il y a du plaisir car on ne joue pas bêtement, soulève Ayayi. On joue pour gagner avec de moins en moins de retenue. Battre l’ASVEL c’est un exploit mais c’est aussi une juste récompense avec tous ces matches qui nous ont filés de peu entre les doigts ».

Deux hommes ont été particulièrement vaillants en ce mardi soir. Vitalis Chikoko a dominé le poste 5 avec 21 points à 9/10 aux shoots et 6 rebonds en seulement 20 minutes. Et Michael Stockton (16 points, 6 passes et 5 rebonds) a maintenu le cap à la mène en faisant partie des 4 joueurs de l'Elan à avoir joué 34 minutes et davantage.

Le programme final de Pau : à Dijon, Nancy -le match à la vie à la mort-, à Strasbourg et Cholet pour terminer. Oui, tout reste à faire.

Photo : Gérald Ayayi (Tuan Nguyen)

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