Aller au contenu

Jordi Bertomeu (PDG de l’Euroleague): « la prochaine étape sera d’accepter deux autres licences permanentes pour l’ASVEL et le Bayern Munich »

Dans une interview à Eurohoops, le PDG de l’Euroleague, Jordi Bertomeu, a évoqué la probabilité de voir l’ASVEL bénéficier d’une licence permanente… Et Villeurbanne pourrait être accompagné d’un autre club français à terme. Le Paris Basketball ?

Dans une interview à Eurohoops, le PDG de l’Euroleague, Jordi Bertomeu, a évoqué la probabilité de voir l’ASVEL bénéficier d’une licence permanente… Et Villeurbanne pourrait être accompagné d’un autre club français à terme. Le Paris Basketball ?

« Je n’ai jamais parlé de vouloir avoir une ligue de 24 équipes. Ce que nous voulons et c’est notre objectif pour les deux prochaines années est de consolider notre entreprise. Et pour que cela se produise, la prochaine étape sera d’accepter deux autres licences permanentes pour l’ASVEL et le Bayern Munich. Les choses se sont un peu arrêtées en interne à cause de la pandémie car nous devons encore unifier nos critères et toute cette situation a causé des retards. Mais il est évident que la France et l’Allemagne sont deux marchés très importants pour nous et que les deux équipes progressent sur le terrain et aussi financièrement comme prévu. C’est pourquoi ils sont actuellement nos meilleurs candidats. Et bientôt d’autres pourraient arriver de France, d’Italie et du Royaume-Uni, un autre marché que nous pensons fondamental pour l’avenir ».

A propos de la saison 2020-21 qui commence cette semaine alors que la pandémie de coronavirus sévit toujours avec intensité en Europe, Jordi Bertomeu explique:

«Nous avons un plan B mais nous aimons les plans A et le nôtre est très flexible. Nous pouvons changer les dates et les lieux des matches. Les équipes ont été très impliquées dans ce dossier et nous ont facilité la tâche. Nous savons qu’il y aura des difficultés au cours de la saison et nous verrons des changements de dernière minute. Nous verrons des matchs qui se joueront dans un autre pays, des réaffectations d’arbitres… Si les choses empirent et que nous devons nous arrêter, comme cela s’est produit en mars, nous retournerions à notre plan de mai, à notre plan B. Tout était prêt, le seul problème était que trois ou quatre équipes ne pouvaient pas quitter leur pays. C’est pourquoi il n’y a pas eu de «bulle». Mais nous avions préparé toute la logistique, comme maintenant. Le plan B n’est pas quelque chose auquel nous devons penser, cependant, si c’est nécessaire, tout est prêt ».

Commentaires

Fil d'actualité