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La phrase – Emmanuel Body (coach de Roche Vendée): « C’est limite qu’il faudrait signer les Françaises en début de saison pour la prochaine ! »

Alors qu’en Jeep Elite et Pro B, les joueurs français comme les étrangers, attendent généralement la fin de saison pour changer de clubs, dans le basket féminin, on a pris la curieuse habitude de préparer la saison suivante bien, bien en amont.

Alors qu’en Jeep Elite et Pro B, les joueurs français comme les étrangers, attendent généralement la fin de saison pour changer de clubs, dans le basket féminin, on a pris la curieuse habitude de préparer la saison suivante bien, bien en amont.

Quand on évoque avec Emmanuel Body, le coach de Roche Vendée, son recrutement pour la saison prochaine, celui-ci révèle:

« On avait signé nos Françaises avant le COVID. Les Françaises signent en décembre/janvier. Alors que les Américaines se sont faits avoir par le COVID car elles n’avaient pas signé lorsqu’il est arrivé.  » Il ajoute: « Le championnat va devenir de plus en plus fort. Avec le Covid, il y en a qui ont réussi à faire des coups. »

Moralité : les Françaises sont sur la grille des anciens salaires d’avant la pandémie alors que les étrangères ont subi une baisse de leurs émoluments.  Et à propos du timing de la signature des contrats, le coach vendéen lance sur le ton de l’ironie:

« C’est limite qu’il faudrait signer les Françaises en début de saison pour la prochaine ! »

Photo: FIBA

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