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Spécial salaires Pro B – Blois avait les moyens de ses ambitions

L’ADA Blois ne pouvait rêver meilleur exercice 2017-2018, puisqu’après avoir chassé Orléans pendant la première partie de saison, les hommes de Mickaël Hay ont pris la première place du championnat avec autorité. Mais ne vous y trompez pas, malgré leur statut de récent promu en quête de confirmation

L’ADA Blois ne pouvait rêver meilleur exercice 2017-2018, puisqu’après avoir chassé Orléans pendant la première partie de saison, les hommes de Mickaël Hay ont pris la première place du championnat avec autorité. Mais ne vous y trompez pas, malgré leur statut de récent promu en quête de confirmation, les Blésois s’étaient donnés les moyens de réaliser de belles choses en affichant le 8e budget la division et la 6e masse salariale.

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Une hiérarchie plus nuancée côté monnaie

Si l’amalgame s’est rapidement fait sur le parquet de la (magnifique) nouvelle salle du Jeu de Paume entre les « historiques » (Florian Thibedore, Benjamin Monclar), les jeunes arrivés la saison dernière (Charly Pontens, Julyan, Motti, Thomas Hieu-Courtois) et les NJFL référencés de la division venus renforcer l’équipe l’été dernier (Torey Thomas, Tyren Johnson et Jonathan Augustin-Fairell), sur le volet financier en revanche, la balance penche clairement en faveur des derniers cités.

Il aurait été facile de dire qu’au vu des CV des deux joueurs américains et de l’intérieur bahaméen, le staff de l’ADA Blois s’assurait de bonnes garanties quant à la réussite de leur saison. Reconnaissons-leur tout de même le talent d’avoir su mettre le paquet sur trois joueurs parfaitement complémentaires sur le terrain et que Mickaël Hay a remarquablement réussi à insérer dans son collectif.

Résultat, Tyren Johnson (15,7pts, 5,3rbds, 3,1pds par match) et Jonathan Augustin-Fairell (12,4pts, 6,7rbds) sont dans le top 10 des meilleures évaluations du championnat et le meneur Torey Thomas, à l’expérience inestimable (9pts, 3rbds, 4,7pds), est tout simplement le porte-bonheur des Blésois dans cette deuxième partie de saison puisque son équipe n’a perdu que deux matchs depuis son retour de blessure.

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Une hiérarchie plus nuancée côté monnaie

Si l’amalgame s’est rapidement fait sur le parquet de la (magnifique) nouvelle salle du Jeu de Paume entre les « historiques » (Florian Thibedore, Benjamin Monclar), les jeunes arrivés la saison dernière (Charly Pontens, Julyan, Motti, Thomas Hieu-Courtois) et les NJFL référencés de la division venus renforcer l’équipe l’été dernier (Torey Thomas, Tyren Johnson et Jonathan Augustin-Fairell), sur le volet financier en revanche, la balance penche clairement en faveur des derniers cités.

Il aurait été facile de dire qu’au vu des CV des deux joueurs américains et de l’intérieur bahaméen, le staff de l’ADA Blois s’assurait de bonnes garanties quant à la réussite de leur saison. Reconnaissons-leur tout de même le talent d’avoir su mettre le paquet sur trois joueurs parfaitement complémentaires sur le terrain et que Mickaël Hay a remarquablement réussi à insérer dans son collectif.

Résultat, Tyren Johnson (15,7pts, 5,3rbds, 3,1pds par match) et Jonathan Augustin-Fairell (12,4pts, 6,7rbds) sont dans le top 10 des meilleures évaluations du championnat et le meneur Torey Thomas, à l’expérience inestimable (9pts, 3rbds, 4,7pds), est tout simplement le porte-bonheur des Blésois dans cette deuxième partie de saison puisque son équipe n’a perdu que deux matchs depuis son retour de blessure.

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