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Spécial salaires Pro B – Nancy, beaucoup d’argent mais plusieurs erreurs

Note : seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois. Comme Orléans, le SLUC arrive en Pro B cette saison après avoir terminé l’exercice 2016/17 à la dernière place du classement de Pro A. Egalement comme Orléans, Nancy d

Note :

seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.

Comme Orléans, le SLUC arrive en Pro B cette saison après avoir terminé l’exercice 2016/17 à la dernière place du classement de Pro A. Egalement comme Orléans, Nancy dispose d’un budget conséquent (le deuxième de la division). Avec comme objectif de tout de suite remonter en Jeep® ÉLITE, les dirigeants nancéiens n’ont pas chômé durant l’intersaison.

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Une star qui n’a jamais joué

S’ils pensaient avoir réussi le coup de l’année en s’offrant les services du meneur reconnu en Europe et passé par Le Mans, Cholet et Limoges, DaShaun Wood, ce choix s’est avéré être une erreur. Touché au genou en présaison, il est passé sur le billard fin août et aurait dû faire son retour trois mois plus tard, mais la date de ce fameux retour n’a fait que reculer jusqu’au point de ne devenir qu’un mirage puisque Wood a quitté Nancy sans avoir foulé le parquet du Palais des Sports Jean Weille en championnat. Dans son malheur, le SLUC a su rebondir en engageant le prometteur DeWayne Russell qui fait partie des quelques satisfactions du club lorrain. Le rookie compile 14 points, 3 rebonds et 6 passes (14,7 d’évaluation), et le troisième plus gros salaire de l’équipe.

Vu comme un potentiel MVP de Pro B à son arrivée, Ivan Aska n’est pas au niveau que le club attendait. Bien qu’auteur de 12 points et 6 rebonds (12 d’évaluation) par sortie, l’ancien joueur du PAOK Salonique ne répond pas aux attentes alors qu’il dispose du deuxième plus gros contrat du club avec 75 000€ la saison.

Le plus gros salaire de l’effectif nancéien appartient au JFL Gary Florimont. Arrivé la saison dernière en provenance du CCRB, il a suivi le club dans sa descente en Pro B. Mais le troisième plus gros salaire de Pro B ne compile qu’en moyenne 7 d’évaluation (5 points, 4 rebonds, 1 passe), même s’il compense par l’intensité défensive, notamment, ce qui ne se voit pas dans les chiffres.

Malgré la deuxième plus grosse masse salariale de la division (943 000€), le SLUC ne rassure donc pas ses fans cette saison avec une timide septième place au classement (17v-11d) derrière des clubs plus modestes comme Saint-Chamond ou Lille.

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Photo : SLUC Nancy

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Une star qui n’a jamais joué

S’ils pensaient avoir réussi le coup de l’année en s’offrant les services du meneur reconnu en Europe et passé par Le Mans, Cholet et Limoges, DaShaun Wood, ce choix s’est avéré être une erreur. Touché au genou en présaison, il est passé sur le billard fin août et aurait dû faire son retour trois mois plus tard, mais la date de ce fameux retour n’a fait que reculer jusqu’au point de ne devenir qu’un mirage puisque Wood a quitté Nancy sans avoir foulé le parquet du Palais des Sports Jean Weille en championnat. Dans son malheur, le SLUC a su rebondir en engageant le prometteur DeWayne Russell qui fait partie des quelques satisfactions du club lorrain. Le rookie compile 14 points, 3 rebonds et 6 passes (14,7 d’évaluation), et le troisième plus gros salaire de l’équipe.

Vu comme un potentiel MVP de Pro B à son arrivée, Ivan Aska n’est pas au niveau que le club attendait. Bien qu’auteur de 12 points et 6 rebonds (12 d’évaluation) par sortie, l’ancien joueur du PAOK Salonique ne répond pas aux attentes alors qu’il dispose du deuxième plus gros contrat du club avec 75 000€ la saison.

Le plus gros salaire de l’effectif nancéien appartient au JFL Gary Florimont. Arrivé la saison dernière en provenance du CCRB, il a suivi le club dans sa descente en Pro B. Mais le troisième plus gros salaire de Pro B ne compile qu’en moyenne 7 d’évaluation (5 points, 4 rebonds, 1 passe) même s’il compense par l’intensité défensive, notamment, ce qui ne se voit pas dans les chiffres.

Malgré la deuxième plus grosse masse salariale de la division (943 000€), le SLUC ne rassure donc pas ses fans cette saison avec une timide septième place au classement (17v-11d) derrière des clubs plus modestes comme Saint-Chamond ou Lille.

Photo : SLUC Nancy

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