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[REDIFF] Spécial Salaires – Nanterre: La success story Lahaou Konate

Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux. BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, é

Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.

BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici Nanterre 92.

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L’année 2013 lorsque la JSF Nanterre est devenue à la surprise générale championne de France, aucun de ses joueurs avait un salaire supérieur à 90 000 euros. L’heureux homme, c’était David Lighty. Suivaient dans l’ordre, Chris Oliver à 75 000, Marc Judith, Stephen Brun, Xavier Corosine et Johan Passave-Ducteil à 70 000. Chris Warren pointait à… 55 000 et Jeremy Nzeulie à… 20 000 !

Oui les temps ont changé et pas seulement pour Jeremy Nzeulie à la trajectoire ascendante depuis cette époque. Le club des Donnadieu a abandonné son statut de David au pays des Goliath. Son budget est aujourd’hui de 4 837 000 euros (8e de Jeep Elite) et surtout sa masse salariale est montée à 1 617 000 euros soit la 7e du championnat, de quelques piécettes supérieures à celui du rival, Levallois.

Conséquence : pas un seul cadre à moins de 100 000€ ; Jean-Marc Pansa et Corentin Carne étant des espoirs. Si Jeremy Nzeulie est aujourd’hui à Strasbourg, Nanterre connaît une autre success story avec Lahaou Konate. Né à Créteil, pote de Evan Fournier, Konate est passé par la N1 puis la Pro B à Evreux. Lors de sa dernière saison à l’ALM (2014-15), il pointait à 45 000€. Le Mans lui fit la saison suivante une offre à 65 000 et le voici donc à 120 000. Et ce n’est pas cher payé quand on sait qu’il est le meilleur marqueur (15,7 points), le meilleur rebondeur (6,7), bien sûr le meilleur à l’évaluation (20,0) de l’équipe et que c’est lui qui est chargé en sus des plus difficiles missions défensives.

Comme on peut le constater, les Nanterriens sont dans la même fourchette sinon Dominic Waters dont on rappelle qu’il a fréquenté 13 clubs en 8 ans dont l’Olympiakos finaliste de l’Euroleague 2017, même si c’était sur le banc. Waters (54,5% de réussite à trois-points 13,1 d’éval), c’est du solide. Et son alter-ego Jeremy Senlin (51,4%), un as du trois-points en NCAA, aussi.

Evidemment, la courbe du salaire du coach Pascal Donnadieu, qui construit chaque saison une équipe excitante et performante, a suivi les résultats du club francilien.

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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L’année 2013 lorsque la JSF Nanterre est devenue à la surprise générale championne de France, aucun de ses joueurs avait un salaire supérieur à 90 000 euros. L’heureux homme, c’était David Lighty. Suivaient dans l’ordre,

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Photo: Lahaou Konate (FIBA)

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