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Actuellement avec l’Equipe de France pour la troisième fenêtre de qualification pour la Coupe du Monde 2019, Edwin Jackson a répondu à quelques questions lors d’un point presse au Palais des Sports Maurice-Thorez de Nanterre la semaine dernière.
Comment s’est passé votre nouvelle signature à Podgorica ? Vous avaient-ils déjà sollicité ?
Oui, j’avais déjà parlé avec le coach, mon agent est proche de lui. J’avais envie de me retrouver dans une situation où j’allais avoir des responsabilités et là c’est parfaitement tombé parce que c’est un club que tout le pays supporte. Ce n’est pas un club nation comme peut l’être le Maccabi Tel Aviv, mais c’est quand même dont tous les Monténégrins sont fiers. Le club fait son retour en Euroleague – c’était attendu depuis longtemps -, ils ont grandement rénové la salle et il y a toujours une bonne ambiance. Je connais plusieurs joueurs qui y jouaient cette année, comme Justin Doellman avec qui j’ai évolué à Barcelone. J’ai aussi parlé au coach, ça m’a paru être un bon challenge dans une bonne situation pour jouer mon jeu et m’exprimer en Euroleague.
Vous parlez de bonne situation, qu’en a-t-il été de votre retour à Barcelone ?
Ça ne s’est pas du tout passé comme je l’attendais pour une simple raison : le coach qui me voulait, qui m’a recruté a été remercié deux jours après mon arrivée. Forcément, les cartes ont été redistribuées, ça a été un tout autre type de jeu. Je ne cache pas que ça a été une situation très frustrante et qui ne m’a pas plu. Je suis, en plus, arrivé dans une équipe qui ne tournait pas forcément bien, je pensais que ça allait être un bon challenge pour essayer de redresser la barre mais ça ne s’est finalement pas du tout passé comme prévu. C’était compliqué, mais c’est le haut niveau et ça arrive.
Photo : FIBA