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Guide Ligue Féminine 2018-19 – Nantes-Rezé: Avec un nouvel écrin, La Trocardière

La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos. Ce dossier de présentation est publié avec cha

La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.

Ce dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.

Bonne lecture !

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Coup dur pour les Déferlantes. Durant l’été, Elodie Bertal-Christmann les a averties qu’elle était enceinte et donc inapte à disputer la saison. Le plan d’utiliser quatre joueuses françaises à l’intérieur a été mis à la poubelle. Heureusement, le club nantais n’avait pas utilisé son quota de joueuses extra-communautaires et a ainsi pu embaucher une Américaine, Briana Day, en provenance de Namur. A l’inverse, bonne nouvelle : Clarince Djaldi-Tabi, arrêtée en principe six mois suite à une opération au genou, sera remise dès la rentrée.

« On a eu beaucoup de turnovers cette année avec les étrangères qui partent, les Françaises qui vont se monnayer ailleurs », constate le coach Emmanuel Coeuret. Au premier rang des départs, l’internationale canadienne Nayo Raincock-Ekunwe recrutée par Bourges. La saison précédente, c’est Katherine Plouffe, qui avait rejoint le Cher après avoir été élue MVP étrangère. « On a eu la chance d’avoir Katherine Plouffe deux années et elle a éclaté la deuxième. Nayo, on savait qu’on ne pourrait pas la conserver. Ce ne sont pas des surprises qu’elles partent, c’était des joueuses d’exception. On est surtout déçu que ça soit aussi le cas des Françaises. On aurait aimé continuer l’aventure avec Lidija Turcinovic. On les expose, elles en profitent, elles font une bonne saison et elles vont ailleurs. Il ne faut pas avoir peur des mots : Nantes n’est pas une équipe de haut de tableau. C’est une équipe de milieu de tableau et de temps en temps plutôt vers le bas. Il faut assumer. »

A l’inverse, les Déferlantes peuvent se féliciter d’avoir mis la main sur Ana Suarez dans le bon timing, de conserver Maud Medenou, de jouer la sécurité avec Shaqwedia Wallace, tout en prenant un risque assumé avec Michaela Stejskalova qui sort d’une saison laborieuse.

La grande nouveauté, c’est que le club s’est installé dans un nouvel écrin, La Trocardière, une salle de 4 185 places située sur la commune de Rezé, à partager avec l’Hermine en Pro B, et qui va faire bien des envieux.

Maud Medenou

De parents béninois, Maud a grandi à Courcouronnes et elle a remporté un titre national en minimes avec comme équipière, Sarah Michel. Formée à l’INSEP, elle a alterné sa carrière professionnelle entre la Ligue Féminine et la Ligue 2 notamment à Aulnoye-Aymeries. Emmanuel Coeuret est enchanté de sa première saison avec les Déferlantes : « Elle a fait une saison qui n’était pas attendue. C’est une fille qui jouait en Ligue 2 et qui s’adapte au niveau. C’était une pierre angulaire ; la preuve on a eu beaucoup de difficultés quand elle était blessée. On a eu la bonne idée de la signer deux ans car sinon on n’aurait pas pu la garder. » Ses points forts ? De longs bras, la défense, le QI basket. Sa petite faiblesse ? « Elle a besoin d’avoir un leader à côté d’elle. C’est quelqu’un de l’ombre, comme dans la vie, pas expansive. L’autre est plus important qu’elle et ce n’est pas elle qui va briller. » Etudiante en psychologie, elle se dit curieuse de tout, de la lecture, du cinéma, de la gastronomie, de cultures diverses, et adore voyager.

Ana Suarez

Internationale espagnole en U18 et U20, elle a débuté une longue carrière à 16 ans, en Espagne passant notamment parValence et Ros Casares et aussi en Argentine l’été et un petit détour par l’Italie. La saison dernière à Tarbes. Rapide, dynamique, bonne shooteuse à trois-points. Se définit aussi comme une travailleuse et une fille qui aime la notion de groupe et apporter sa joie de vivre. « Lorsque j’ai pris la décision de me séparer de Shona Thoburn, qui était une joueuse emblématique et que j’appréciais sur et en dehors du terrain, ça s’est vite conclu avec Ana que j’avais déjà repéré », raconte le coach. « Elle a fait un début de saison dernière en demi-teinte, elle est montée crescendo et elle a fait une finale de bonne facture. On l’a signée en mars et je pense que si on avait voulu le faire plus tard, on n’aurait pas pu s’aligner. Ce que j’ai apprécié, c’est qu’elle n’a mis qu’une journée à dire oui. » 7,6 points, 3,9 passes et 4,0 passes avec Tarbes la saison passée.

L’effectif de Nantes-Rezé est disponible ici.

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Coup dur pour les Déferlantes. Durant l’été, Elodie Bertal-Christmann les a averties qu’elle était enceinte et donc inapte à disputer la saison. Le plan d’utiliser quatre joueuses françaises à l’intérieur a été mis à la poubelle. Heureusement, le club nantais n’avait pas utilisé son quota de joueuses extra-communautaires et a ainsi pu embaucher une Américaine, Briana Day, en provenance de Namur. A l’inverse, bonne nouvelle : Clarince Djaldi-Tabi, arrêtée en principe six mois suite à une opération au genou, sera remise dès la rentrée.

« On a eu beaucoup de turnovers cette année avec les étrangères qui partent, les Françaises qui vont se monnayer ailleurs », constate le coach Emmanuel Coeuret. Au premier rang des départs, l’internationale canadienne Nayo Raincock-Ekunwe recrutée par Bourges.

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