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Interview Andrew Albicy : « J’ai passé un été incroyable »

Chef d’orchestre de l’Equipe de France avec Frank Ntilikina et en l’absence de Thomas Heurtel, Andrew Albicy (4,8 points, 1,3 rebond, 1,3 interception et 2,6 passes) a été précieux dans cette coupe du Monde. Le nouveau joueur du Zenit Saint-Petersbourg continue sa progression et est revenu avec nous

Chef d’orchestre de l’Equipe de France avec Frank Ntilikina et en l’absence de Thomas Heurtel, Andrew Albicy (4,8 points, 1,3 rebond, 1,3 interception et 2,6 passes) a été précieux dans cette coupe du Monde. Le nouveau joueur du Zenit Saint-Petersbourg continue sa progression et est revenu avec nous sur cette compétition et sa médaille de bronze.

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Comment avez-vous vécu cette campagne personnellement ?

C’est positif dans le sens où on repart quand même avec quelque chose. L’objectif premier était de se qualifier pour les Jeux Olympiques. On a donc atteint cet objectif qui était très important pour le basket français. Il y a aussi forcément ce petit regret d’avoir complètement raté la demi-finale. On a un gout amer parce qu’on sentait vraiment qu’on pouvait faire quelque chose de bien. Au moins on ne repart pas les mains vides, pour moi on a fait vraiment le minimum.

Vous avez lancé votre compétition face à Dennis Schroder, ensuite vous avez mené la vie dur à Patty Mills, Kemba Walker. Vous avez aussi affronté Facundo Campazzo, comment vous êtes-vous sentis face à ces joueurs-là ?

Très bien ! C’est surtout une motivation supplémentaire, un challenge de jouer contre des joueurs comme ça. Je suis surtout satisfait d’avoir réussi à les limiter. Ça me réconforte sur le travail défensif que je fais et ça me prouve que je peux rivaliser face à eux. C’est vraiment cool d’avoir pu jouer face à des joueurs de ce calibre, c’est le genre de challenge que j’adore.

Vous avez, en plus de cet aspect défensif, réussi à vous montrer précieux en attaque par moments comme face à l’Australie ?

C’est quelque chose que je sais faire, mais ce n’est pas un registre dans lequel on m’a vu lors du championnat du Monde parce que j’avais un rôle complètement différent qu’en club. Quand j’arrive à pouvoir mettre quelques shoots dans des moments comme ça, c’est cool. Surtout qu’on en avait besoin, j’ai pris mes shoots avec confiance et ça m’a réussi.

Parfois vous étiez dans le cinq de départ, parfois vous sortiez du banc, dans quelle configuration vous sentez-vous le mieux ?

Peu importe. J’arrive souvent à m’adapter. Je commence maintenant à avoir de l’expérience par rapport à ça. Au début du tournoi j’étais dans le cinq, après j’ai démarré sur le banc. J’apportais un petit plus en sortie de banc parce que j’apportais toute mon énergie en défense. J’ai plutôt apprécié ça, mais ça ne m’a pas changé beaucoup d’être sur le banc ou de démarrer le match.

Après cette coupe du Monde, quel est votre état d’esprit vis-à-vis des JO ?

Ça devient clairement un vrai objectif. J’ai envie de faire partie de ce groupe. Cette coupe du Monde a été vraiment un kiffe tant bien sur le côté humain que sportif et j’ai vraiment envie de jouer les Jeux Olympiques pour la première fois. C’est la compétition que tous les sportifs ont envie de faire. J’ai envie d’y être surtout après tout le travail qu’on a fait pour s’y qualifier.

Vous êtes le seul à avoir pris part à tous les matchs depuis deux ans, vous allez rejoindre une équipe d’Euroleague et donc vous pourriez être absent lors des prochaines fenêtres, quel est votre sentiment là-dessus ?

C’est même sûr que je vais rater les fenêtres, mais c’est aussi l’évolution que je voulais avoir. Je suis quand même satisfait de l’évolution de ma carrière, de mon parcours. J’ai passé un été incroyable : j’ai signé en Euroleague, l’Equipe de France, la médaille. J’espère continuer sur ce chemin et encore évoluer. C’est le but.

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Comment avez-vous vécu cette campagne personnellement ?

C’est positif dans le sens où on repart quand même avec quelque chose. L’objectif premier était de se qualifier pour les Jeux Olympiques. On a donc atteint cet objectif qui était très important pour le basket français. Il y a aussi forcément ce petit regret d’avoir complètement raté la demi-finale. On a un gout amer parce qu’on sentait vraiment qu’on pouvait faire quelque chose de bien. Au moins on ne repart pas les mains vides, pour moi on a fait vraiment le minimum.[/arm_restrict_content]

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Photo : FIBA

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