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Vincent Collet : « 14 ou 15 joueurs pour la préparation aux JO de Tokyo »

Suite à la qualification à l’EuroBasket 2020, Vincent Collet a donné une longue interview pour revenir sur la victoire sur le Monténégro, la performance de Thomas Heurtel, le dernier match demain face à la Grande-Bretagne, sur le bilan général de ces fenêtres, et aussi sur la préparation pour les Je

Suite à la qualification à l’EuroBasket 2020, Vincent Collet a donné une longue interview pour revenir sur la victoire sur le Monténégro, la performance de Thomas Heurtel, le dernier match demain face à la Grande-Bretagne, sur le bilan général de ces fenêtres, et aussi sur la préparation pour les Jeux Olympiques de Tokyo.

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Sur la célébration de la qualification :

Nous l’avons un peu fêtée. Nous avons la chance d’avoir un GM très organisé, en la personne de Boris Diaw, qui avait anticipé du point de vue de l’intendance. On n’a pas accompli d’exploits mais on sait très bien que c’est très important pour notre basket d’être présent de façon régulière dans les compétitions internationales. C’est fondamental. Donc c’est quelque chose que l’on a fêté. (…) C’est à l’intéressé de vous donner le nom du Château ! Il y avait une petite bouteille de la Vallée du Rhône et une ou deux de chez lui. Pas de l’Utah (sourire). Ça deuxième maison.

Sur le match contre le Monténégro :

En ce qui concerne le soulagement, c’est évident. On savait quand même que l’on avait encore une autre possibilité de se qualifier. On avait observé le match entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne, et comme je le craignais, on allait être dans l’obligation de gagner l’un des deux matches, ce qui n’était pas forcément le cas en arrivant au Monténégro. Si les Allemands avaient gagné hier, une défaite par moins de 24 points contre la Grande-Bretagne nous suffisait pour nous qualifier. Mais au-delà de ça, comme je l’avais dit mardi, on souhaitait gagner les deux matches et continuer avec ce groupe à avancer. La première mi-temps a été vraiment compliquée. On s’attendait à ce que les Monténégrins nous rentrent dedans et ce d’autant plus qu’ils étaient dans l’obligation impérative de victoire. On n’a pas bien démarré offensivement, on a perdu une multitude de balles pour certaines non provoquées. C’est nous qui échappions le ballon, j’ai parlé de savonnette. On a fait un certain nombre d’erreurs directes qui ont eu des conséquences lourdes puisqu’on a donné 14 points de jeu rapide à nos adversaires en première mi-temps. Si on n’était qu’à 6 points à la mi-temps, c’était un moindre mal par rapport à ce que l’on avait produit avec une maladresse importante, 1/10 à trois-points, 8/14 aux lancers, toutes ces balles perdues. On le devait au fait que défensivement, on était relativement solide… Quand on pouvait défendre car quand on perdait la balle, plusieurs fois on a été pris sur des situations de surnombre. Mais malgré tout, avec la défense, on a réussi à s’accrocher. La défense est symbolisée par le fait que l’on a quasiment mis sous cloche (Justin) Cobbs. On n’a pas vu (Nikola) Ivanovic non plus. Mais, il y en a d’autres qui ont émergé, comme (Petar) Popovic en première mi-temps, (Marko) Simonovic par la suite, et quelques autres à différents moments du match. On est encore monté défensivement en deuxième mi-temps, surtout dans le dernier quart-temps. Et en attaque, on a trouvé davantage de fluidité. On a déjà arrêté de perdre la balle, seulement trois en deuxième mi-temps, et on a eu la chance de tenir avec les Dijonnais quelques artificiers. Alexandre Chassang a eu un très bon passage où il nous a maintenu et Axel Julien a ajouté deux paniers à trois-points. Dans le money time, Thomas (Heurtel) a fait preuve de sang-froid, de maîtrise, en marquant quelques gros shoots. Isaia Cordinier a eu également deux plays décisifs, à la fin. On s’en sort bien. C’est un match où l’on a été mené quasiment tout le temps et nos adversaires peuvent nourrir des regrets. Ils ont fait un excellent match et il s’en est fallu de peu qu’ils parviennent à leurs fins.

Photo: Andrew Albicy (FIBA)
« Il faut des leaders. Andrew (Albicy) est l’incarnation de tout ça, l’esprit de sacrifice, de ne jamais lâcher, la façon dont il a défendu tout le match sur Cobbs »

Sur l’état d’esprit généré depuis trois ans avec les fenêtres et sa part dans la capacité à rester mobilisé dans les moments difficiles :

C’est difficile à évaluer de la part du coach. Pour avoir la vraie bonne réponse, il faudrait interroger tous les acteurs. Je crois que l’on a une vraie solidarité. Pour le match contre la Grande-Bretagne, on va partager davantage le temps de jeu mais on souhaite malgré tout le gagner car ça fait référence aux valeurs et à l’identité que l’on veut donner à ce Team France. Ce sont les joueurs qui portent ça en eux. Il faut des leaders. Andrew (Albicy) est l’incarnation de tout ça, l’esprit de sacrifice, de ne jamais lâcher, la façon dont il a défendu tout le match sur Cobbs. On le trouve aussi chez les autres. Il y a une vraie volonté de prouver des choses et c’est d’autant plus remarquable que pas mal de ces joueurs, bien sûr, n’iront pas aux Jeux Olympiques et certainement pas non plus au championnat d’Europe. Mais ils ne se posent pas de question, il y a une forme d’abnégation qui nous aide et qui nous permet de faire ces choses-là. Dans un registre différent, on avait gagné de 17 points en République Tchèque, en étant mené au début du 4e quart-temps. Je crois que l’on avait fini par un 17-0. Là, en première mi-temps, on n’était pas du niveau escompté mais par contre sur l’intensité, dans l’envie, on était déjà là. On savait que ça serait difficile. J’avais insisté sur le fait qu’il ne fallait pas se laisser bercer par ce qui se disait ici où là, comme quoi on était quasiment qualifié, que ce n’était que le Monténégro. On était conscient du contexte. Hier, ils jouaient aussi pour le pays, ils ont joué avec un cœur admirable. Pour avoir vu tous leurs matches de la fenêtre, ils ont affiché hier une intensité, une agressivité, qui n’étaient pas comparables avec ce qu’ils ont fait lors de leurs matches précédents. D’ailleurs, ils peuvent s’en vouloir de ne pas avoir mis la même intensité contre la Grande-Bretagne lors du 2e match à Pau.

Sur la résistance physique de Thomas Heurtel après une si longue période sans compétition :

Dès lundi, je trouvais que Thomas était vraiment fit. Je l’ai vu arriver dans des rassemblements estivaux parfois en moins bonne forme physique. La difficulté, c’est de transformer ça avec l’intensité des matches. Après, c’était le premier, il y avait l’excitation, ça compense. On a aussi respecté les séquences de repos. La première fois, il a joué 7-8 minutes, après les 2 dernières avant la mi-temps. Je l’ai remis un peu en début de deuxième et c’est là où je pense qu’il a eu plus de mal. Par contre, il a trouvé le deuxième souffle pour à la fin marquer les paniers décisifs, faire des plays qui ont eu beaucoup d’importance. Effectivement, il était physiquement au-dessus de ce que l’on pouvait attendre (…) On en a parlé ensemble avec Thomas, il sait que moi, je préfère qu’il joue. C’est essentiel, notre métier c’est de jouer au basket ! Même s’il a été pas mal physiquement malgré l’interruption, ce n’était que quelques semaines, alors que les Jeux Olympiques c’est dans cinq mois. Ça serait une période d’interruption comme une grosse blessure et on sait que même si on se prépare physiquement, ça ne remplace pas la spécificité de notre sport avec des contacts. Quand on redémarre une saison, on fait une préparation physique et souvent on est court parce qu’il faut encaisser les chocs et ça change beaucoup la donne. Il y a des repères que seul le jeu peut fournir. Donc, je pense que pour lui ça serait bien qu’il puisse rejouer… Comme pour ceux qui ne jouent pas actuellement (NDLR : Frank Ntilikina, Vincent Poirier, Killian Hayes).

Photo: Jerry Boutsiele (FIBA)
« Ils ont des joueurs qui sont agressifs, qui vont au cercle, les intérieurs sont très physiques »

Sur le match de lundi face à la Grande-Bretagne :

La première place du groupe est quand même bien engagée puisqu’il faudrait que les Anglais nous battent de 24 points pour qu’on ne l’ait pas. Mais au-delà de ça, la victoire est importante, même si elle n’est pas vitale, et je vais beaucoup plus partager le temps de jeu. On souhaite par rapport à nos valeurs continuer sur la même lancée, c’est-à-dire jouer avec intensité et faire le mieux possible (…) Bien sûr que les blessures, c’est quelque chose qui nous préoccupe, mais le risque zéro n’existe pas, on espère simplement que ça n’arrivera pas et qu’on va ramener tout le monde dans de bonnes conditions. Même si le match est sans enjeu, pour moi, ça n’existe pas un match amical au niveau de l’équipe nationale. Même quand on fait des matches amicaux, je les appelle matches de préparation parce que l’équipe nationale c’est sacré et tout est important. Effectivement, il y a quelques joueurs que l’on va observer pour la suite et dans cette suite, il y a les Jeux Olympiques de cet été. Il y a beaucoup de joueurs qui ne sont pas là et qui seront là cet été, mais on sait qu’il y a quelques postes à pourvoir, et certains joueurs de cette fenêtre peuvent en être. On prend des informations et un match comme hier est intéressant car grâce à l’énergie de nos adversaires, il y avait des situations où il y avait de la dureté, de l’intensité. Ça a permis de voir certains joueurs dans ce contexte-là. De tous les matches que l’on a joué de ces fenêtres des qualifications au championnat d’Europe, c’était le match le plus dur et le plus intense, et de loin (…) Dans le groupe, c’est l’équipe qui est la plus athlétique avec la nôtre, elle a posé des problèmes très importants aussi bien au Monténégro qu’à l’Allemagne sur ces données-là. Ils ont des joueurs qui sont agressifs, qui vont au cercle, les intérieurs sont très physiques. L’une des révélations de ce groupe de qualification, c’est (Gabriel) Olaseni (2,10m, 29 ans, Buyukcekmece), qui est le meilleur rebondeur du championnat turc (NDLR : 3e en fait, derrière Mam Jaiteh et Alperen Sengun). Il a été bon contre pratiquement toutes les équipes et à chaque match. Vous avez pu remarquer que Ovie Soko n’a pas joué tant que ça hier (22’ pour 12 points, 2 rebonds et 3 passes face à l’Allemagne) alors qu’il est l’un des meilleurs intérieurs du championnat de France. Si vous rajoutez (Myles) Hesson et même le vétéran (Dan) Clark, ça fait un secteur intérieur qui tient vraiment la route. Lorsqu’il y a eu le tirage au sort, on n’imaginait pas que cette équipe aurait autant de consistance. Les arrières sont tous des joueurs assez percutants, à l’image de (Teddy) Okereafor, de (Luke) Nelson, qui est aussi plus polyvalent car c’est aussi un bon shooteur. Ils ont aussi quelques autres joueurs comme Tarik Phillip, qui joue à Jérusalem, qui sont surprenants. Il faudra que l’on soit un peu sur le même tempo qu’au match aller, en première mi-temps, quand on avait su matcher leur agressivité. Ils n’avaient pas pu s’appuyer sur cette valeur athlétique pour trouver des solutions comme lors du match d’hier ou contre le Monténégro à Pau.

Photo: Amath Mbaye (FIBA)
« Peut-être que cela en amuse certain mais moi, je ne trouve pas ça totalement dans l’esprit sportif »

Sur le bilan de ces qualifications auxquelles ont participé 18 joueurs :

On ne se fait pas d’illusions sur le niveau de jeu que l’on produit. On essaye de faire le mieux possible dans des conditions compliquées -bulle ou pas. Vous récupérez l’effectif le lundi soir et quatre jours après, il faut jouer contre des équipes qui ont de la qualité. Mais le comportement des joueurs est exemplaire. Est-ce que c’était parce que l’on était dans une bulle, dans un hôtel, mais il y a eu du sérieux et de l’engagement dans tous les entraînements. A ce niveau-là, c’est très bien. La réflexion que j’ai car il y aura d’autres fenêtres pour la qualification aux Mondiaux, c’est que malgré tout, depuis le début de ces qualifications, au fil des années, on voit des joueurs qui partent et on s’aperçoit que, par exemple, les leaders de nos fenêtres à la qualification à la Coupe du monde 2019 ne sont plus dans l’équipe, parce qu’ils jouent aujourd’hui en Euroleague ou en NBA. C’est un éternel recommencement et ce n’est pas évident que l’on puisse trouver à chaque fois des remplaçants. Là, on a eu la chance que Andrew Albicy soit revenu dans une équipe qui ne joue qu’en Eurocup, à Gran Canaria, alors que s’il était resté au Zenit (Saint-Petersbourg) comme l’an passé, ça nous aurait posé des problèmes. C’est un système très compliqué pour les équipes comme nous. C’est pareil pour l’Espagne, la Serbie. Lors de la fenêtre précédente, la Serbie a perdu contre la Suisse et l’Espagne contre la Pologne. Peut-être que cela en amuse certain mais moi, je ne trouve pas ça totalement dans l’esprit sportif. Le but que l’on devrait avoir c’est que toutes les meilleures équipes soient au championnat d’Europe, et pas qu’il y ait de grosses surprises à cause d’un système de qualification qui met en difficulté. Le Monténégro a des jeunes joueurs vraiment intéressants, vous rajoutez (Nikola) Vucevic (Orlando Magic) et (Bojan) Dubljevic, je pense qu’ils méritent d’aller au championnat d’Europe. Malheureusement, ils n’y seront pas et la formule n’y est certainement pas étrangère.

Photo: Isaia Cordinier (FIBA)
« Je pense qu’il y aura quand même un petit processus de sélection pour les derniers postes »

Sur la préparation des Jeux Olympiques :

Il faut que la sélection soit annoncée relativement tôt (NDLR : vers la fin mai) car il y a des contraintes supplémentaires par rapport à un championnat d’Europe, liées au CNSOF. On est en train de travailler sur la préparation. On aura une réunion très importante mercredi pour essayer d’avancer. Pour l’instant, rien n’est encore fixé car ça dépend de pas mal de paramètres. C’est beaucoup plus difficile que des années de championnat d’Europe ou de Coupe du monde pour élaborer le planning des matches amicaux. Les équipes qui jouent le TQO (NDLR : 29 juin au 4 juillet) vont évidemment se préparer avant nous, et elles ne seront donc pas accessibles quand nous on aurait besoin de matches. Aussi, il y a très peu d’équipes disponibles pour jouer des matches amicaux dans les périodes où on en recherche. On avait eu les mêmes problèmes en 2012 et 2016. On est obligé de parler avec différentes sélections en sachant que si elles sont éliminées au TQO, elles ne voudront pas jouer entre le 10 et le 20 juillet parce que leur saison internationale sera terminée. Par contre, si elles passent, elles voudront des matches. Pour l’instant, on ne sait pas quelles équipes on aura et quand. Je souhaiterais un groupe pas trop élargi, mais il faut quand même que l’on puisse sélectionner. Si on a de très fortes convictions avant de démarrer le premier stage, on fera a minima, mais il y a souvent des petits pépins en début de préparation, et puis il y a cette année un élément à prendre en compte, c’est la fin de saison. Quand on voit les résultats de Utah (Rudy Gobert) et même des Clippers (Nicolas Batum), on peut craindre que certains de nos leaders soient retenus pendant le début de la préparation. Donc, il faudra du monde pour fonctionner. Je ne peux pas envisager que d’être moins de 14 ou 15. Est-ce qu’on va sélectionner directement et adjoindre des partenaires d’entraînement ? Je ne pense pas. Je pense qu’il y aura quand même un petit processus de sélection pour les derniers postes (…) Il y a deux mois, on avait dit que l’on irait aux Etats-Unis après la fenêtre de février, on pensait le faire en mars, et c’est totalement impossible. Même si on va aux Etats-Unis, on ne peut pas rencontrer les joueurs. La façon dont fonctionne la NBA leur interdit de rencontrer des gens en dehors de la sphère familiale. On va donc procéder par visio. Je le regrette. Et si par bonheur, ça s’ouvrait fin avril ou mai, je le ferai mais pour l’instant ce n’est pas envisageable.

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Sur la célébration de la qualification :

Nous l’avons un peu fêtée. Nous avons la chance d’avoir un GM très organisé, en la personne de Boris Diaw, qui avait anticipé du point de vue de l’intendance. On n’a pas accompli d’exploits mais on sait très bien que c’est très important pour notre basket d’être présent de façon régulière dans les compétitions internationales. C’est fondamental. Donc c’est quelque chose que l’on a fêté. (…) C’est à l’intéressé de vous donner le nom du Château ! Il y avait une petite bouteille de la Vallée du Rhône et une ou deux de chez lui. Pas de l’Utah (sourire). Ça deuxième maison.

Sur le match contre le Monténégro :

En ce qui concerne le soulagement, c’est évident. On savait quand même que l’on avait encore une autre possibilité de se qualifier. On avait observé le match entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne, et comme je le craignais, on allait être dans l’obligation de gagner l’un des deux matches, ce qui n’était pas forcément le cas en arrivant au Monténégro. Si les Allemands avaient gagné hier, une défaite par moins de 24 points contre la Grande-Bretagne nous suffisait pour nous qualifier. Mais au-delà de ça, comme je l’avais dit mardi, on souhaitait gagner les deux matches et continuer avec ce groupe à avancer. La première mi-temps a été vraiment compliquée. On s’attendait à ce que les Monténégrins nous rentrent dedans et ce d’autant plus qu’ils étaient dans l’obligation impérative de victoire. On n’a pas bien démarré offensivement, on a perdu une multitude de balles pour certaines non provoquées. C’est nous qui échappions le ballon, j’ai parlé de savonnette. On a fait un certain nombre d’erreurs directes qui ont eu des conséquences lourdes puisqu’on a donné 14 points de jeu rapide à nos adversaires en première mi-temps. Si on n’était qu’à 6 points à la mi-temps, c’était un moindre mal par rapport à ce que l’on avait produit avec une maladresse importante, 1/10 à trois-points, 8/14 aux lancers, toutes ces balles perdues. On le devait au fait que défensivement, on était relativement solide… Quand on pouvait défendre car quand on perdait la balle, plusieurs fois on a été pris sur des situations de surnombre. Mais malgré tout, avec la défense, on a réussi à s’accrocher. La défense est symbolisée par le fait que l’on a quasiment mis sous cloche (Justin) Cobbs. On n’a pas vu (Nikola) Ivanovic non plus. Mais, il y en a d’autres qui ont émergé, comme (Petar) Popovic en première mi-temps, (Marko) Simonovic par la suite, et quelques autres à différents moments du match. On est encore monté défensivement en deuxième mi-temps, surtout dans le dernier quart-temps. Et en attaque, on a trouvé davantage de fluidité. On a déjà arrêté de

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Photo d’ouverture: Thomas Heurtel (FIBA)

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