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Angers de retour en LFB – David Gautier : « Il faut rester humble tout en étant ambitieux »

Quatre ans plus tard, l‘Union Féminine d’Angers Basket 49 va retrouver l’élite. L’occasion de rencontrer son imposant coach de 2,02m, David Gautier, pour discuter des futures échéances de l’équipe.

Quatre ans plus tard, l‘Union Féminine d’Angers Basket 49 va retrouver l’élite. L’occasion de rencontrer son imposant coach de 2,02m, David Gautier, pour discuter des futures échéances de l’équipe.

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Vous retrouvez l’élite quatre ans après, quel est le sentiment qui prédomine ?

C’est avant tout un soulagement. On a connu beaucoup de déceptions avec la descente en 2017 tout d’abord puis les autres saisons en LF2 où l’on était pas très loin de remonter. Je suis très content de pouvoir enfin finir le boulot.

Qu’est-ce qui a fait la différence avec les autres équipes, encore plus dans la situation que nous traversons ?

C’était une saison qui fut très dure ! Elle s’est jouée sur des détails, on a eu de la chance de jouer tous les matchs à fond, je n’ose pas imaginer les équipes qui jouaient pour pas grand-chose. On avait une équipe plutôt complémentaire sur le terrain mais avant tout en dehors. C’est un groupe qui vit bien et qui n’a jamais rien lâché.

Quelles ont été les forces du groupe cette année qui ont permis la montée ?

Comme je l’ai dit, les forces de cette année ont été avant tout l’état d’esprit. Toute l’année, on a mis beaucoup d’intensité. On avait un effectif de 11, on ne garde que 5 joueuses donc on doit en trouver 6 nouvelles. Il faudra parvenir à avoir un groupe avant de créer une équipe sur le terrain. Les joueuses doivent bien s’entendre en dehors pour réussir de belles choses sur le parquet. Il faudra être prêt en faisant le moins d’erreurs possibles, en étant prêt à se battre.

Quelles sont les clés pour exister en LFB ?

Il faudra tout simplement jouer juste et rester solidaires. Des défaites, on va en connaitre plus qu’en LF2 car la LFB est un très gros championnat qui possède de très grandes joueuses. On se devra de rester positifs en voulant continuer de travailler à l’entraînement et de progresser. Le maintien ? Il faut rester humble et ambitieux. Certes la saison va être compliquée mais nous ne devons pas nous dévaloriser. On vise clairement le maintien mais si nous  pouvons aller chercher plus, on ne va pas se priver.  Une chose est sûre, il va falloir se battre.

« J’avais l’objectif de faire remonter le club »

L’équipe va donc beaucoup bouger avec déjà de nombreux départs annoncés dont des cadres (Sarah Oufsar, Kelly Corre) mais aussi de nombreuses arrivées (Nabala Fofana, Kekelly Elenga et Jodie Cornelie-Sigmundova), que penser du mercato ?

C’est un mercato pas facile parce qu’il a commencé très tôt. Nous avons dû nous lancer dans l’inconnu en établissant des paris puisque nous ne savions pas si nous recrutions pour nous battre pour le maintien ou pour jouer à nouveau la montée. Le plus important va être de trouver des leaders d’équipe puisque nous avons perdu des cadres. Nous cherchons des filles avant tout pour former un groupe, qui ont donc un état d’esprit solidaire. Ce qu’il nous manque à l’heure actuelle est un poste 1, un poste 3 et un poste 5.

Est-ce que vous comptez, à titre personnel, faire quelque chose en plus dans votre manière de coacher en LFB ou au final c’est le même job ?

Non pas tellement, il n’y pas vraiment de grande différence. Comme tout le monde et comme les joueuses, il faudra être plus précis et continuer à progresser. En LF2, le niveau est déjà très élevé donc le but n’est pas de tout révolutionner.

Vous avez prolongé cette année pour deux ans de plus ? Parlez-en nous.

Cela s’est passé au mois de janvier. Quand on a parlé avec les dirigeants, je leur ai dit que j’avais un vrai objectif, celui de ramener le club en LFB à la fin de mon contrat. Au final, j’ai réussi dès cette saison mais il ne faut pas s’en contenter. On va tout faire pour y rester !

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Vous retrouvez l’élite quatre ans après, quel est le sentiment qui prédomine ?

C’est avant tout un soulagement. On a connu beaucoup de déceptions avec la descente en 2017 tout d’abord puis les autres saisons en LF2 où l’on était pas très loin de remonter. Je suis très content de pouvoir enfin finir le boulot.

Qu’est-ce qui a fait la différence avec les autres équipes, encore plus dans la situation que nous traversons ?

C’était une saison qui fut très dure ! Elle s’est jouée sur des détails, on a eu de la chance de jouer tous les matchs à fond, je n’ose pas imaginer les équipes qui ne jouaient pour pas grands choses. On avait une équipe plutôt complémentaire sur le terrain mais avant tout en dehors. C’est un groupe qui vit bien et qui n’a jamais rien lâché.

Quelles ont été les forces du groupe cette année qui ont permis la montée ?

Comme je l’ai dit les forces cette année ont été avant tout l’état d’esprit. Toute l’année, on a mis beaucoup

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Photo: UFAB

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