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Salaires 2024-2025 - Strasbourg : l’alléchant duo Chikoko-Dessert

Le nouveau cycle de la SIG a débuté avec une hécatombe de blessures qui a obligé l’équipe de Laurent Vila à se réorganiser continuellement depuis le début de saison. Mais Strasbourg a de la ressource, à l’image de ses deux pivots, et va faire son retour à la Leaders Cup.

Brice Dessert © Philippe Gigon

SIG Strasbourg – saison 2024-2025

Budget : 7 118 000 (5e, +3 %)
Masse salariale : 1 941 000 euros (6e, +9 %)
Classement après 16 journées : 8e (7-9)


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Au printemps dernier, la SIG a manqué le train des playoffs pour la première fois depuis 2012. Le symbole du retour dans le rang du club alsacien, qui a connu trois présidents et trois coaches en l’espace de douze mois, dont l’Italien Massimo Cancellieri avec lequel la greffe n’a pas pris.

Après des années sur une pente descendante, Strasbourg veut désormais retrouver le top 8. L’arrivée comme actionnaire et directeur artistique de Matt Pokora a redonné du peps au projet alsacien (+3 % de budget et 9% de masse salariale), qui est désormais mis en musique par Laurent Vila, chargé d’orchestrer le nouveau projet jeune tout en visant un retour aux playoffs.

Retour à la Leaders Cup

Difficile de juger la première partie de saison strasbourgeoise tant l’équipe - la plus dispendieuse de la division - n’a jamais été au complet. Les blessures de Malik Fitts, Illan Pietrus, Edon Maxhuni et Brice Dessert ont largement entamé la barre d’énergie. Néanmoins, la SIG a arraché des victoires dans des moments difficiles, notamment en décembre en dominant l’ASVEL et en l’emportant à La Rochelle et Dijon. 

Ce qui lui permet de faire son retour à la Leaders Cup, qui lui a souri par le passé (vainqueur en 2015 et 2019). « Ce n’est pas seulement une compétition, c’est un événement. On a bien envie de se confronter aux meilleures équipes comme Monaco, Paris ou l’ASVEL », affichait fièrement le technicien catalan aux Dernières Nouvelles d’Alsace. Il n’oublie pas pour autant que, avec seulement deux victoires d’avance sur Limoges (14e), son équipe regarde plutôt derrière que devant (deux succès de retard sur Saint-Quentin, 7e).

Dominic Artis © Jacques Cormarèche

Dominic Artis touche plus qu’à Cholet…

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