Boris Diaw a intégré le staff de l’équipe de France en 2019, à une époque où il est devenu pour quelques mois le président des Metropolitans 92.
« On m'a demandé si je serais intéressé si Boris ne continuait pas et j'ai dit : pourquoi pas ? Mais pour l'instant, il veut continuer, » a répondu Tony Parker qui déclare de nouveau son amour pour l’équipe nationale : « J'aurais toujours un amour fort pour elle et je serais intéressé pour l'aider. Surtout que Victor est l'avenir de l'équipe de France, qu’il joue aux Spurs et que je suis à San Antonio tous les mois. Il y a plein de synergies qui pourraient fonctionner. »
Un autre volet est abordé : le rachat de la LDLC Arena. L’ancien président de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, s’est positionné alors que Tony Parker s’apprête à le faire en entente avec Alexey Fedorychev, le propriétaire de l’AS Monaco et de Fedcom devenu un important sponsor de l’ASVEL. Les deux parties sont elles en concurrence ?
« Jean-Michel m'a appelé, révèle Tony Parker dans le quotidien lyonnais. Il voulait que nous fassions quelque chose ensemble, m’a dit qu’il voulait être un soutien, qu'il croit en l'Asvel et en cette salle. Je n'ai jamais eu de problème avec Jean-Michel et si nous pouvons faire quelque chose ensemble, pourquoi pas ? Faire une offre commune ? Nous en sommes à l'étape des discussions et je ne peux pas trop parler pour l'instant. »
