A propos de la gueule de bois après la fête de l'équipe nationale : « Ça va. Ce sont de bons moments et après tant de préparation et de compétition, c'est agréable de se détendre, ne serait-ce qu'un instant. Demain, je pars pour Monaco. Ce n'est certes pas facile de laisser ma famille derrière moi, mais c'est la vie que j'ai choisie. J'ai le soutien de ma femme et de ma famille, et c'est ce qui me donne la force et la motivation nécessaires. »
À propos de ce que l'on peut attendre de Vassilis Spanoulis concernant l'équipe nationale : « Je veux vivre l'instant présent. Il est encore trop tôt pour parler de l'avenir. Pour l'instant, je suis très heureux de ce que nous avons accompli. C'est aussi l'objectif que je m'étais fixé, avec Nikos (NDLR : Nikos Zisis est le manager général de l'équipe grecque) et le Président. Je suis très fier que nous ayons à nouveau fait descendre les gens dans la rue et que nous ayons permis aux Grecs de revoir l'équipe nationale et d'attendre avec impatience le prochain match. »
À propos de ses succès en si peu de temps : « Je m'y attendais. Quand j'ai décidé de devenir entraîneur, je voulais être le meilleur et atteindre le sommet. J'ai toujours fait ça en tant que joueur, je le fais maintenant en tant qu'entraîneur et je m'efforcerai de le faire à l'avenir. C'est mon tempérament, je suis né comme ça, ça m'est venu inconsciemment et quoi que j'entreprenne, je veux toujours le faire du mieux que je peux. Il y a une différence indéniable : quand on est joueur, on joue, contrairement à aujourd'hui où les joueurs jouent, ce sont eux les protagonistes. Je ferai de mon mieux pour réussir et réaliser mes rêves. »
A propos de l'importance de la médaille de bronze : « Cette équipe a dépassé ses limites et a donné le meilleur d'elle-même, et c'est le plus important. Pour moi, le plus important dans la vie et dans le sport, c'est de se dépasser, et nous avons dépassé les nôtres, et c'est notre plus grande réussite. »
