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En Direct avec Axel Toupane : « Nando De Colo est toujours le meilleur joueur d’Euroleague »

17Cette saison à l’Olympiakos, Axel Toupane (2,01m, 26 ans) a quitté le club grec en raison de retards sur son salaire. Mais avant de partir, l’international tricolore nous a accordé une interview au sein du Stade de la paix et de l’amitié du Pirée. Il répond aux questions du « En Direct ».

17Cette saison à l’Olympiakos, Axel Toupane (2,01m, 26 ans) a quitté le club grec en raison de retards sur son salaire. Mais avant de partir, l’international tricolore nous a accordé une interview au sein du Stade de la paix et de l’amitié du Pirée. Il répond aux questions du « En Direct ».

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Votre premier match en pro :

Techniquement, je crois que mon premier match en pro c’était à Orléans mais j’étais entré en jeu peut-être dix secondes pour faire une défense. Mon premier vrai match, c’était contre Hyères-Toulon. J’avais beaucoup joué et j’avais fait un bon match (ndlr, première entrée en jeu contre Nancy le 15 octobre 2011 pour moins d’une minute de jeu et 20 minutes de jeu contre Hyères-Toulon le 10 décembre pour 16 points et 6 rebonds).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a pas mal. Quand j’ai commencé à Strasbourg, je pense à Ricardo Greer qui m’avait pris sous son aile. Abdou Mbaye, contre qui j’ai toujours été en opposition lors de ma première année, m’a beaucoup fait progresser.  Un peu plus tard, il y a eu Antoine Diot qui est arrivé et Antoine et sur le terrain il te rend vraiment meilleur. Aux Etats-Unis, j’ai eu une très bonne relation avec Bismack Biyombo. On a beaucoup parlé en dehors du terrain, ça m’a beaucoup aidé.

Le meilleur joueur actuel d’Euroleague :

Nando De Colo est toujours au top. Il y a Mike James aussi qui fait une grosse saison.

Celui qui parle/râle le plus :

Jan Vesely… Il parle beaucoup, il floppe. Sergio Rodriguez aussi.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Déjà, il y a mon père (NDLR: Jean-Aimé Toupane fut basketteur pro avant d’être entraîneur en club et des équipes de France). Sarunas Jasikevicius l’an dernier et je pense aussi à Jerry Stackhouse. J’ai eu de la chance, j’ai vraiment eu que des bons coachs. Il y a même Vincent (Collet). Ça a été le premier à me lancer. Pour en sortir qu’un, je dirais mon père.

Le club dans lequel vous rêveriez de jouer :

Les Los Angeles Lakers parce que c’est mon équipe depuis tout jeune.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Celle du Zalgiris Kaunas. Le truc à l’Olympiakos c’est qu’elle n’est pas tout le temps pleine. Je dirais la Zalgirio Arena et notre salle quand c’est le derby contre le Panathinaïkos.

Le pire souvenir en carrière :

La finale européenne avec les U20 quand on perd d’un point. Je pense aussi à la finale de Pro A en 2013 contre Nanterre. Perdre cette finale c’était dur.

Le meilleur souvenir :

Le Final Four d’Euroleague l’an dernier avec le Zalgiris Kaunas.

Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :

Oh… Nikola Jokic… Giannis Antetokounmpo, je ne suis pas resté longtemps avec. DeMar Derozan aussi est très fort.

L’adversaire le plus coriace :

Russ Smith qui jouait en D-League. Il est passé par l’université de Louisville. Il est petit, très rapide, il est vraiment chiant…

Votre match référence en carrière :

J’avais mis 41 points en playoffs en D-League. C’était un bon match.

Votre move préféré :

(sourire) Un dribble à gauche et je monte pour shooter.

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

Les gros shoots de Vassilis Spanoulis ! C’est assez large et je ne me prends pas trop la tête. Dès que c’est la fin du match, tu sais que c’est dedans.

Pourquoi le numéro 6  :

A la base c’était le 8 parce que mon père a joué avec ce numéro. Aussi, je suis fan de Kobe Bryant depuis tout petit et à cette époque il portait le 8. Après Kobe a pris le 24 sauf qu’à l’époque on ne pouvait pas prendre au-delà du numéro 15 donc j’avais fait 2 plus 4 égale 6 et j’avais changé. Un truc comme ça (sourire).

Le mec le plus drôle du vestiaire :

Briante Weber et Dimitris Agravanis.

Votre meilleur pote dans le basket :

Il y en a plusieurs. Je m’entends très bien avec toute ma généraient (1992), Léo Westermann, Evan Fournier, Jordan Aboudou… Il y en a pas mal.

Si vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

Mon gars Etienne avec qui j’ai joué à Pau, Balou (Jordan Aboudou), qui d’autres… Il faut qu’on gagne quand même ! Nikola Jokic et Bryan Pamba.

La ville où vous avez joué que vous préférez :

Je pense que c’est Athènes.

Principale occupation entre deux entraînements :

Lire. J’aime bien aussi visiter tout ce qui est musées dans les villes où je suis, aller dans des bons restaurants. Je suis beaucoup sur FaceTime avec mes amis qui sont loin.

Si vous pouviez changer une règle dans le basket :

Ce n’est pas vraiment une règle mais ça m’énerve vraiment quand on siffle passage en force juste parce qu’il y a un gros impact alors que le gars n’est pas forcément encore en place. Ce n’est pas vraiment changer une règle mais si on pouvait revoir ça, ça serait bien.

Si vous ne jouiez pas au basket :

Je ferais du golf.

Après le basket :

Oui j’ai des idées de business à monter.

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Votre premier match en pro :

Techniquement, je crois que mon premier match en pro c’était à Orléans mais j’étais entré en jeu peut-être dix secondes pour faire une défense. Mon premier vrai match, c’était contre Hyères-Toulon. J’avais beaucoup joué et j’avais fait un bon match (ndlr, première entrée en jeu contre Nancy le 15 octobre 2011 pour moins d’une minute de jeu et 20 minutes de jeu contre Hyères-Toulon le 10 décembre pour 16 points et 6 rebonds).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a pas mal. Quand j’ai commencé à Strasbourg, je pense à Ricardo Greer qui m’avait pris sous son aile. Abdou Mbaye, contre qui j’ai toujours été en opposition lors de ma première année, m’a beaucoup fait progresser.  Un peu plus tard, il y a Antoine Diot qui est arrivé et Antoine sur le terrain il te rend vraiment meilleur. Aux Etats-Unis, j’ai eu une très bonne relation avec Bismack Biyombo. On a beaucoup parlé en dehors du terrain, ça m’a beaucoup aidé.[/arm_restrict_content]

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Photo : Euroleague / FIBA

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