C’est indiqué sur sa page d’ouverture, le site swish-swish, c’est « toute la WNBA en français » et il s’intéresse à la meneuse belge de l’ASVEL, Julie Allemand (1,74m, 23 ans), qui a été draftée par le Indiana Fever en 33e position en 2016 mais qui n’a pas encore posé ses baskets dans la ligue américaine.
« C’est vrai que je ne veux pas aller trop vite en WNBA, que je veux prendre mon temps et être prête », indique t-elle. « Je n’ai pas spécialement d’échéance, je dirais que c’est plutôt du feeling avec l’expérience engendrée, oui. Je veux que ça soit le bon moment. Je ne veux pas me précipiter et que ça soit une erreur. Je sais que j’ai encore le temps, je ne suis pas encore prête pour y aller. Step by step, saison par saison et été par été. »
Le jeune Belge est désormais entourée de joueuses NBA, aussi bien en club qu’avec son équipe nationale.
« Ça nous arrive parfois de discuter de la WNBA avec Alysha (Clark). Mais pas de manière régulière non plus. Je sais que c’est le plus haut niveau, je regarde des matchs et j’analyse le jeu. C’est encore un autre monde. Mais je sais que des filles comme Alysha ou Emma Meesseman sont des filles qui m’aideront énormément sur un terrain juste en me disant quelques mots/phrases (…) J’ai suivi cette saison-ci un peu plus que les autres parce que je connais de plus en plus de joueuses. J’aime bien l’équipe de Seattle, notamment grâce à Alysha aussi, même si cette saison elles étaient bcp plus en difficulté avec l’absence de (Breanna) Stewart et Bird. Je voulais aussi voir comment Marine (Johannes) allait gérer sa première saison WNBA. Et supporter Emma et Kim (Mestdagh) avec Washington. »Photo: FIBA