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A la découverte du groupe punk-rock qui met en musique les chants des supporters du CSP

Ça ne peut exister qu’à Limoges et nulle part ailleurs. Un groupe de punk rock qui met en musique les chants des supporters du CSP. Ce sont Gala et le Hooligans Dissidents et on les découvre sur cette vidéo dans leur cave de répet’, dans le centre-ville. Ça pulse. Interview de Sébastien Goursaud, al

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Ça ne peut exister qu’à Limoges et nulle part ailleurs. Un groupe de punk rock qui met en musique les chants des supporters du CSP. Ce sont Gala et le Hooligans Dissidents et on les découvre sur cette vidéo dans leur cave de répet’, dans le centre-ville. Ça pulse. Interview de Sébastien Goursaud, alias Gala.

Vous mettez en musique les chants du CSP ?

Effectivement, il y a la reprise des chants de supporters que l’on entend à Beaublanc. On est deux sur trois à être membres du groupe de supporters des Eagles mais on ne se définit pas non plus comme un groupe Eagles. On est supporters du CSP avant tout.

Dans votre répertoire il y a donc des chansons sur Philippe Hervé, Yann Bonato, Jo Gomis, la LNB… Qui a écrit les paroles et les musiques ?

C’est nous. Gala, c’est moi à la guitare, il y a aussi Ultra-Pénible à la basse et Guy Sauvage à la batterie. Ce sont des pseudos ! Gala, c’est mon surnom, les supporters du CSP me connaissent comme ça. Nous avons une émission de radio qui parle du CSP, qui s’appelle « Le Cercle » et j’avais fait une imitation de Michel Galabru. Galabru, Gala. Voilà. Les Hooligans Dissidents, c’est pour le côté un peu énervé, agacé.

Dans la vidéo, vous dites :  « Le basket en France, c’est Limoges ! Le reste, ça n’existe pas », ça veut tout dire ?

C’est un peu notre devise (rires).

A part ces compositions spécifiques sur le CSP, en interprétez-vous d’autres qui n’ont rien à voir avec le basket ?

On appartient tous les trois à d’autres groupes « sérieux » et ont fait des choses qui n’ont rien à voir. Ce groupe, c’est exclusivement pour le CSP, c’est vraiment un délire. On se connaît depuis quinze ou vingt ans, on est des copains d’enfance, on a été à la l’école et on a joué au basket ensemble.

Jouer à Beaublanc, ça vous plairait ?

Ah ! Bien sûr (rires). Ça serait une consécration. On n’y croit pas trop et à vrai dire on ne cherche pas non plus. Il y a des gens qui nous proposent des choses, des interviewes, de faire des concerts mais nous, on cherche juste à rigoler. Jouer à Beaublanc un jour ça demanderait pas mal de mise en place en terme de matériel.

Pour écouter la musique, c’est ici :

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