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Antoine Eito (Orléans) est revenu à 100%

Suite à une fracture à la cheville, Antoine Eito (1,86m, 28 ans) n’a disputé que les six premières journées de championnat avant de réapparaître le 4 février. Depuis son retour, il a joué trois matches –trois défaites- et sa troisième sortie a été encourageante (13 points, 5 fautes). Ce soir, il aff

Suite à une fracture à la cheville, Antoine Eito (1,86m, 28 ans) n’a disputé que les six premières journées de championnat avant de réapparaître le 4 février. Depuis son retour, il a joué trois matches –trois défaites- et sa troisième sortie a été encourageante (13 points, 5 fautes).

Ce soir, il affronte son ancien club, Le Mans, et Ouest-France lui a demandé de ses nouvelles

« Je suis revenu à 100 %. J’ai eu mon premier entraînement sans douleur après nos trois jours « off » durant la Leaders Cup. Je n’ai pas récupéré totalement ma façon de sauter avec la cheville gauche. Ma fracture (au rostre du calcanéum) collait à l’articulation, d’où une perte de puissance. C’était long. J’ai disputé deux matchs en boitant (Hyères Toulon et Pau). C’était chaud, j’ai galéré. »

Plus généralement, l’OLB est victime d’une avalanche de blessures: Abdel Kader Sylla, Kyle McAlarney, Marcellus Sommerville, Kévin Dinal, et plus récemment Micah Downs qui s’est fait une déchirure à l’abdomen sur un layup face à Toulon, et de nouveau Kader Syla qui s’est blessé au genou face à Antibes suite à un choc avec… son équipier Kyle McAlarney. Où trouver l’explication ?

« On a beaucoup parlé de soucis extra-sportifs. J’ai toujours dit « vivons bien, vivons cachés ». J’y vois un peu de superstition. On s’est pris le boomerang dans la tête. C’est surtout de la malchance. Quand je me pète la cheville, Sylla se fracture la main et McAlarney déclenche sa pubalgie. Tout ça en trois jours. On n’a rien changé à notre préparation, à nos méthodes d’entraînement. L’an dernier, Kyle (McAlarney) et moi, on a loupé zéro match. Avec tous ces blessés, on est en reconstruction perpétuelle. On décale des joueurs, on change de systèmes, d’où un manque d’automatismes. »

Actuellement avant-dernier, Orléans est sous pression. Mais Le Mans, qui n’a pas gagné un seul de ses quatre derniers matches, aussi.

Photo: Orléans Loiret Basket.

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