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En direct avec D.J. Cooper (Gravelines-Dunkerque) : « Je suis le meilleur joueur de Pro A »

MVP du championnat la saison dernière, le maestro D.J. Cooper a étincelé la Pro A sous les couleurs de l’Elan Béarnais avec notamment ses passes venues d’ailleurs. Présent lors du Media Day LNB, le nouveau meneur du jeu du BCM Gravelines-Dunkerque a accepté de se prêter au jeu du « En direct avec… »

MVP du championnat la saison dernière, le maestro D.J. Cooper a étincelé la Pro A sous les couleurs de l’Elan Béarnais avec notamment ses passes venues d’ailleurs. Présent lors du Media Day LNB, le nouveau meneur du jeu du BCM Gravelines-Dunkerque a accepté de se prêter au jeu du « En direct avec… ».

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Le premier match que vous avez joué en pro : Je crois que je m’en souviens. C’était lors de ma première année en Grèce (2013/14, ndlr), j’étais jeune (sourire). C’était une belle expérience, j’étais nerveux mais ça m’a beaucoup aidé.

Le joueur qui vous a rendu meilleur : Je dirai, Dimitris Diamantidis. Nous étions ensemble au Panathinaïkos. Quand je le regardais, j’adorais son jeu. Je pense qu’il m’a fait devenir vraiment meilleur.

Un modèle dans le basket : J’aime Chris Paul, Steve Nash, j’aime les meneurs de jeu qui passent la balle.

Le meilleur joueur actuel de Pro A : Moi… Moi.

Le meilleur coach pour lequel vous avez joué : Je suis reconnaissant d’avoir pu jouer pour de très bons coachs. Je ne pourrais pas dire lequel est le meilleur, je suis passé sous les ordres de très bons techniciens que ce soit l’année dernière avec coach Bartecheky ou lors de ma première année en Grèce avec Soulis Markopoulos. J’ai vraiment eu des très bons coachs.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance : C’est en Grèce. Les supporters là-bas sont vraiment très, très passionnés. Les fans ici aussi sont bons, la passion est vraiment incroyable en Grèce et c’était une atmosphère un peu différente. C’était super.

Votre pire souvenir de joueur : Perdre… Perdre les derniers matchs de playoffs ou des choses comme ça, ne pas avoir été capable de sortir sur une bonne note.

Votre meilleur souvenir : Juste gagner des matchs. Peu importe quand vous gagnez, je pense que tout le monde est content, les coachs, les joueurs, tout le monde.

L’adversaire le plus coriace : J’ai pu me confronter à pas mal de bons joueurs. Je ne sais pas, je pourrais dire Milos Teodosic, il fait vraiment partie des meilleurs joueurs contre lesquels j’ai pu jouer, Dimantidis ou encore Vassilis Spanoulis.

Pourquoi portez-vous le numéro 2 : Je ne sais pas. ll n’y a pas de raison, j’aime juste ce numéro. Je ne suis pas superstitieux.

Votre meilleur pote dans le basket : Mark Payne (NDLR: Ancien joueur de Châlons-Reims et Limoges).

Votre principale occupation entre deux entraînements : Rien, juste me reposer (sourire). Du repos…

Si vous ne jouiez pas au basket : C’est une bonne question… Comme j’ai joué au basket toute ma vie je ne sais vraiment pas. Peut-être conduire des trains ou quelque chose du genre.

Vous après le basket : Rester dans un gymnase, être entraîneur ou quelque chose comme ça.

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Le premier match que vous avez joué en pro : Je crois que je m’en souviens. C’était lors de ma première année en Grèce (2013/14, ndlr), j’étais jeune (sourire). C’était une belle expérience, j’étais nerveux mais ça m’a beaucoup aidé.

Le joueur qui vous a rendu meilleur : Je dirai, Dimitris Diamantidis. Nous étions ensemble au Panathinaïkos. Quand je le regardais, j’adorais son jeu. Je pense qu’il m’a fait devenir vraiment meilleur.[/arm_restrict_content]

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Photo : BCM/Julie Dumélié

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