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En direct avec Jonathan Rousselle (Cholet) : « En poussin j’avais marqué un panier contre mon camp »

International A’, Jonathan Rousselle (1,93m, 27 ans) sort de sa meilleure saison en carrière. Parti sur le même bases cette saison, le champion d’Europe U20 avec l’Equipe de France veut définitivement s’imposer en Pro A. Il répond aux questions du « En Direct ».

International A’, Jonathan Rousselle (1,93m, 27 ans) sort de sa meilleure saison en carrière. Parti sur le même bases cette saison, le champion d’Europe U20 avec l’Equipe de France veut définitivement s’imposer en Pro A. Il répond aux questions du « En Direct ».

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Le premier match que vous avez joué en pro :

Je n’ai pas l’adversaire ni la date en tête mais c’était forcément avec Gravelines (le 5 octobre 2008 face à Dijon,  il avait compilé 1 passe décisive pour 1 d’évaluation en une minute dans la victoire de Gravelines, ndlr). Pour être honnête je ne m’en souviens pas parce que c’était plus un objectif qu’un aboutissement donc ça ne m’a pas marqué plus que ça finalement.

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Ben Woodside. C’était à l’époque où j’entrais vraiment dans le monde pro. A l’entraînement c’était vraiment compliqué contre lui.

Votre modèle quand vous étiez plus jeune :

Non… je dirais mes deux grands frères, qui jouaient au basket aussi, mais je n’avais pas de modèle à proprement parler.

Le meilleur joueur actuel de votre championnat :

Ah… euh… Joker sur celle-là. Il n’y en a pas un qui me vient et je ne veux pas dire de bêtises donc joker.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Germain Castano. C’était à l’époque où j’étais à Boulogne-sur-Mer. Un coach vraiment marquant. On a partagé des choses vraiment superbes ensemble.

Le club où vous aimeriez jouer :

Je dirais le Real Madrid.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Ah ! Ca se tâte entre Le Portel et Limoges… Mais je dirais quand même Limoges.

Votre pire souvenir de joueur :

J’en ai deux… Un qui est marrant. Je suis en poussin et je marque un panier contre mon camp incroyable devant tout le monde. Un panier hyper important qui donne quasiment la victoire aux adversaires. Ca c’était marquant. En pro, je dirais… Un jour où avec Gravelines on joue à Paris, on mène de 30 points et je pars tout seul en contre-attaque, mais je touche à peine l’anneau. Grand moment de solitude…

Votre meilleur souvenir :

Mes deux années à Boulogne-sur-Mer. Sur le moment je ne me rendais pas compte, mais c’était vraiment une période très spéciale.

L’adversaire le plus coriace :

DaShaun Wood de l’époque de l’ALBA Berlin. A cette époque-là c’était quelque chose. Ca l’est toujours, mais à cette époque-là il avait vraiment été très impressionnant.

Votre match référence en carrière :

J’en n’ai pas vraiment. J’ai fait plusieurs bons matchs, mais pas un match qui sort du lot. Peut-être un soir en Espoir où je mets 40 points, j’avais vraiment l’impression de ne pas rater. En pro j’ai déjà eu des bonnes soirées, mais pas de match où je marche sur l’eau et où j’en mets 40.

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

La détente du mec du Mans, DJ Stephens ! (rires)

Pourquoi portez-vous le 5 :

Parce que mon père portait ce numéro-là et qu’il était basketteur professionnel. C’est pour lui rendre hommage.

Si vous aviez une règle à changer dans le basket :

La ligne à 4 points !

Votre meilleur pote dans le basket :

Euh… J’ai beaucoup de bons potes mais de là à dire qu’il y en a un au-dessus des autres non… Il y a plusieurs mecs avec qui j’ai vraiment gardé contact. Allez je dirais… Ah je vais en froisser quelques-uns, c’est dur ce que tu me demandes ! (rires) Austen Rowland que j’ai connu à Boulogne.

Si vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

(rires) Mam Jaiteh en 5, moi en poste 1, Yannick Bokolo en 2, Cyril Akpomedah en 4 et en 3 je mettrais bien David Noël.

Votre principale occupation entre deux entraînements :

M’occuper de mon fils et faire le ménage (rires).

Si vous ne jouiez pas au basket :

J’aurais bien aimé être pompier.

Vous après le basket :

Et bah pompier ! (rires)

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Le premier match que vous avez joué en pro :

Je n’ai pas l’adversaire ni la date en tête mais c’était forcément avec Gravelines. Pour être honnête je ne m’en souviens pas parce que c’était plus un objectif qu’un aboutissement donc ça ne m’a pas marqué plus que ça finalement.

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Ben Woodside. C’était à l’époque où j’entrais vraiment dans le monde pro. A l’entraînement c’était vraiment compliqué contre lui.

Votre modèle quand vous étiez plus jeune :

Non… je dirais mes deux grands frères, qui jouaient au basket aussi, mais je n’avais pas de modèle à proprement parler.

Le meilleur joueur actuel de votre championnat :

Ah… euh… Joker sur celle-là. Il n’y en a pas un qui me vient et je ne veux pas dire de bêtises donc joker.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Germain Castano. C’était à l’époque où j’étais à Boulogne-sur-Mer. Un coach[/arm_restrict_content]

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Photo : LNB

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