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Les anecdotes de Sarunas Jasikevicius, le coach du Zalgiris Kaunas

Le podcast #ZalgirisOnAir a été lancé cette saison et il attire quantité de téléspectateurs et d’auditeurs lituaniens. Il est également sous-titré en anglais. L’invité du dernier épisode de l’année est le coach du Zalgiris Kaunas, Sarunas Jasikevicius et il a livré quelques anecdotes.

Le podcast #ZalgirisOnAir a été lancé cette saison et il attire quantité de téléspectateurs et d’auditeurs lituaniens. Il est également sous-titré en anglais. L’invité du dernier épisode de l’année est le coach du Zalgiris Kaunas, Sarunas Jasikevicius et il a livré quelques anecdotes.

Jasikevicius a été en partie formé aux Etats-Unis en commençant par un lycée de Pennsylvannie.

« Je me souviens d’avoir atterri à New York en pensant: « Maintenant, c’est l’Amérique ». Nous avons conduit pendant 4 heures avant d’arriver enfin dans ma ville, et nous avons vu qu’il n’y avait pas un seul réverbère. Je me suis réveillé le lendemain matin et j’ai réalisé qu’il y avait des champs de maïs tout autour de moi à perte de vue. »

Au cours de sa carrière, l’actuel coach du Zalgiris a notamment fréquenté l’entraîneur Pini Gershon au Maccabi Tel-Aviv et celui-ci n’était pas un ascète ni un homme rigide.

« Dans une interview, j’ai mentionné que Pini mangeait des hamburgers et des pizzas pendant les entraînements. L’interview est sortie un peu plus tard, et voilà qu’une semaine après j’ai reçu un appel de Pini: « Hé, Malaka, tu mens aux gens! ». Je pensais que l’entraîneur était en colère contre moi, mais ensuite il a ajouté: « Pourquoi mens-tu aux gens en disant que je mange de la pizza. Je mange toujours des brochettes ! »

Plus tard, Jasikevicius a rejoint le Panathinaikos devenant l’équipier de la légende grecque Dimitris Diamantidis. Evoquant l’un de ses coéquipiers préférés, le Lituanien confie qu’il était le contraire d’un fêtard.

« Je devais aller chez lui, prendre Diamantidis par la veste, le pousser dans la voiture, verrouiller les portières pour qu’il ne puisse pas les ouvrir pour s’échapper. C’était la seule façon de l’emmener en ville. »

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