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Spécial salaires – Monaco : Mieux pour moins cher !

Photo d’ouverture : Marcos Knight (Photo : AS Monaco) Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’AS Monaco. Comme chaque année, ce dossier est exclusivement ré

Photo d’ouverture : Marcos Knight (Photo : AS Monaco)

Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’AS Monaco.

Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.

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Crise aidant, l’AS Monaco a sérieusement réduit la voilure au niveau économique : de 3 595 000 € la saison passée, la masse salariale a dégringolé à 2 694 000 €, soit quelques 900 000 € de moins ! Là où huit joueurs gagnaient 180 000 € ou plus, cinq étant à 200 000 € au moins, la Roca Team ne propose plus cette saison que deux joueurs à plus de 200 000 € et cinq à 180 000 € la saison au moins.

Dans ce secteur financier, l’une des réussites de Monaco a été d’arriver à convaincre certains de ses joueurs de baisser leurs émoluments – c’est ainsi le cas de Dee Bost (270 000 € l’an passé) ou de J.J. O’Brien (180 000 €). Sportivement, l’effet est moins évident, les deux joueurs affichant des stats en baisse : 12,4 (sa plus mauvaise évaluation depuis ses débuts en France) contre 15,0 d’éval pour Bost, 8,7 contre 13,0 pour O’Brien. Ceci n’empêche pas l’AS Monaco de dominer le championnat de France pour le moment (1er avec 6 victoires pour une défaite).

Mathias Lessort (Photo : Eurocup)

Il faut dire que le recrutement s’est montré plutôt pertinent, exception faite de l’ailier Wesley Saunders, guère adapté aux spécificités de la Jeep Élite, et de Darral Willis, récemment coupé après des prestations en demi-teinte (8,3 d’évaluation). Mais Rob Gray, débauché de Boulogne-Levallois pour remplacer un Khadeen Carrington out pour la saison et payé sur la même base, et, plus encore, Marcos Knight sont d’excellentes pioches pour un salaire sans démesure. Et, à 120 000 €, Damien Inglis constitue toujours une très bonne affaire. Seul « loupé » statistique pour le moment, Abdoulaye Ndoye qui, s’il a vu son salaire bondir (il était à 60 000 € l’an passé à Cholet), propose un rendement en forte baisse (6,3 d’évaluation contre 14,0 une saison plus tôt).

Reste à évoquer le dernier gros changement de l’intersaison, le départ de Sacha Obradovic et le retour au bercail d’un Zvezdan Mitrovic forcément revenchard et qui perçoit le même salaire qu’à Villeurbanne. Avec la féroce envie de remporter le championnat de France et de briller en Eurocup. Gageons que l’équipe monégasque ne sera pas loin de ces objectifs, la Roca Team faisant déjà aussi bien si ce n’est mieux que la saison passée, pour nettement moins cher !

  • Mathias LESSORT (FRA) : 250 000 €
  • Dee BOST (USA/BUL) : 210 000 €
  • Wilfried YEGUETE (FRA) : 185 000 €
  • Khadeen CARRINGTON (TTO/USA) : 180 000 €
  • Jaleel O’BRIEN (USA) : 165 000 €
  • Abdoulaye NDOYE (FRA) : 160 000 €
  • Marcos KNIGHT (USA) : 160 000 €
  • Rob GRAY (USA) : 120 000 € (pour 8 mois)
  • Damien INGLIS (FRA) : 120 000 €
  • Darral WILLIS (USA) : 75 000 € (pour 5 mois)
  • Yohan CHOUPAS (FRA) : 33 000 €

Coach / Assistant :

  • Zvezdan MITROVIC (MTN) : 240 000 €
  • Mirko OCOKOLJIC (MTN) : 40 000 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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Crise aidant, l’AS Monaco a sérieusement réduit la voilure au niveau économique : de 3 595 000 € la saison passée, la masse salariale a dégringolé à 2 694 000 €, soit quelques 900 000 € de moins ! Là où huit joueurs gagnaient 180 000 € ou plus, cinq étant à 200 000 € au moins, la Roca Team ne propose plus cette saison que deux joueurs à plus de 200 000 € et cinq à 180 000 € la saison au moins.

Dans ce secteur financier, l’une des réussites de Monaco a été d’arriver à convaincre certains de ses joueurs de baisser leurs émoluments – c’est ainsi le cas de Dee Bost

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