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Spécial salaires – Gravelines-Dunkerque : La valse des Américains

Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du BCM Gravelines-Dunkerque. Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours te

Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du BCM Gravelines-Dunkerque.

Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.

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Commençons par le plus simple : les Français. Pape Sy est le seul à s’intercaler au milieu des étrangers au sommet de la hiérarchie financière et il est très loin des performances accomplies lors de ses deux premières années au BCM, son évaluation ayant chuté de 14 à 5,6. A 32 ans et après quelques blessures, est-il déjà au soir de sa carrière ?

Romuald Morency (25 ans) est, lui, une bonne affaire et, avec ses 7,4 points et 5,5 rebonds, il s’est d’emblée installé solidement en Jeep Elite, après cinq saisons de découverte du monde professionnel en Pro B. Paul Rigot et Lucas Bourhis (3,8 d’éval chacun) ont plus de mal à s’adapter à ce niveau.

Pour le reste, en se penchant sur le cas des non-JFL, on s’aperçoit que, comme à Cholet, le BCM a procédé à pas mal de transformations – le terme convient mieux que celui d’ajustement -, sachant notamment que les deux étrangers les mieux payés ont été coupés fin 2020 ! Le cas le plus spectaculaire est celui de Chris Horton, qui avait effectué une saison de feu dans le Maine-et-Loire et qui n’a pas retrouvé toute sa splendeur au BCM, même si ses statistiques ne sont pas les pires du contingent d’Américains du club (10,0 points, 7,8 rebonds, 12,6 d’évaluation). Le club nordiste s’en est séparé sans bourse déliée mais il aura quand même coûté dans les 85 000 dollars en salaires pour seulement… 5 matches de Jeep Elite. Et il est depuis retourné à… Cholet ! Gravelines avait également investi sur son compatriote Cameron Wells au poste de meneur et lui aussi a été prié d’aller voir ailleurs après avoir laissé une impression très quelconque (11,2 points et 2,6 passes en 5 matches). Coût véritable sur ses quatre mois de présence : 60 000€. Il a rebondi à Boulazac, comme pigiste médical d’Edgar Sosa. L’anonyme Quincy Ford (6,0 points et 3,6 rebonds) ne faisait pas non plus l’affaire, il est également parti.

Photo: Lucas Bourhis (BCM)

Pour les remplacer, le BCM a embauché le puissant pivot belge Khalid Boukichou (ex-Pau et Chalon) à titre temporaire dans un premier temps puis jusqu’à la fin de la saison après qu’il ait démontré qu’il apportait un bonus appréciable et, après notre enquête, l’ailier Erik McCree (un retour), le pivot Gavin Ware (ex-Levallois et Dijon) et le meneur Briante Weber (ex-Boulogne-Levallois). C’est (très) séduisant sur le papier mais il est encore trop tôt pour savoir si c’est concluant. Dans un premier temps, Gravelines va devoir s’extirper de la zone rouge. Et recréer un collectif tout en gérant le fait de disposer de sept non-JFL dans l’effectif – et donc un de trop pour chaque match. Qui sera le prochain à partir ?

  • Chris HORTON (USA) : 190 000
  • Cameron WELLS (USA) : 150 000 €
  • Pape SY (FRA) : 110 000 €
  • Vojdan STOJANOVSKI (MKD) : 90 000 €
  • Corey DEVIS (USA) 90 000 €
  • Itay SEGEV (ISR) : 80 000 €
  • Khalid BOUKICHOU (BEL) : 70 000 €
  • Romuald MORANCY (FRA) : 70 000 €
  • Paul RIGOT (FRA) : 60 000 €
  • Lucas BOURHIS (FRA) : 30 000 €

Coach / Assistant:

  • Serge CREVECOEUR (BEL) : 85 000 €
  • Sébastien DEVOS (FRA) : 26 500 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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Commençons par le plus simple : les Français. Pape Sy est le seul à s’intercaler au milieu des étrangers au sommet de la hiérarchie financière et il est très loin des performances accomplies lors de ses deux premières années au BCM, son évaluation ayant chuté de 14 à 5,3. A 32 ans et après quelques blessures, est-il déjà au soir de sa carrière ?

Romuald Morency (25 ans) est, lui, une bonne affaire et, avec ses 7,7 points et 5,9 rebonds, il s’est d’emblée installé solidement en Jeep Elite, après cinq saisons de découverte du monde professionnel en Pro B. Paul Rigot (3,0 d’éval) et Lucas Bourhis (3) ont plus de mal à

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Photo: Erik McCree (BCM)

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