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Andrew Albicy et les Bleus : « On joue ensemble à Call of Duty, on rigole, on s’occupe, on se prépare pour la guerre ! »

Andrew Albicy (1,78m, 31 dans quelques jours) est toujours un piranha en défense, il consacre beaucoup de temps aux jeux-vidéos et il aborde pour ces fenêtres une nouvelle paire de sneakers flamboyantes. Interview.

Andrew Albicy (1,78m, 31 dans quelques jours) est toujours un piranha en défense, il consacre beaucoup de temps aux jeux-vidéos et il aborde pour ces fenêtres une nouvelle paire de sneakers flamboyantes. Interview.

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Comment vous sentez-vous avant ce match contre le Monténégro ?

Hâte de partir en guerre, tout simplement… Les journées sont un peu longues puisqu’on n’est pas chez nous, mais on s’entraîne bien car on sait que ça va être un gros match. Ils sont chez eux, ils ont tout fait pour organiser cette dernière fenêtre. Pour eux, il y a un grand enjeu. Nous, on sait que notre base c’est la défense et on va s’appuyer sur ça.

Avez-vous l’intention de les étouffer comme ça s’était passé avec la Grande-Bretagne à Pau ?

Si on peut faire comme contre la Grande-Bretagne, on va se faciliter clairement la tâche. En tous les cas, je serai le premier à faire ça. Ils ont des arrières qui ont de l’expérience, qui jouent ensemble depuis deux ou trois ans, je crois. Ça ne sera pas facile de les tenir mais si on joue physique avec eux, qu’on les étouffe dès le début, qu’on les empêche de jouer leur jeu correctement, c’est une équipe qui n’aime pas ça et on peut vraiment les faire déjouer.

Que change le retour de Thomas Heurtel au niveau des arrières, notamment sur le plan offensif ?

Pour moi, pas grand-chose, je continue de jouer de la même façon. L’arrivée de Thomas, c’est un plus pour nous. Il a un jeu offensif plus varié que le mien. On sait qu’il a un niveau d’expérience au-dessus du nôtre. On va l’utiliser, tout simplement.

A l’image de Justin Cobbs au Monténégro, il y a pas mal de naturalisés dans les équipes de l’Est. Etes-vous choqué par ça ?

Ça devient une habitude, donc je ne peux plus être choqué. C’est devenu un business de donner des passeports pour certains Américains. Ainsi, ils sont davantage payés dans leurs clubs, ils ont une valeur plus importante. C’est comme ça, il faut faire avec.

Photo: Comover
« J’ai ouvert ma chaîne Twitch car ça permet de pas mal échanger avec une communauté egame dans le basket »

Comment se passe votre vie collective au troisième étage de l’Hôtel Hilton de Podgorica ?

(Sourire) Comme on a pu le voir sur certains réseaux, on joue à la console. On essaye de s’occuper comme on peut. On vit très bien tous ensemble. C’est un moment que l’on attend -en tous les cas pour moi- pour couper un peu par rapport à la saison, retrouver les gars en équipe de France. On est super contents de se retrouver. C’est à table ou dans les soins que l’on partage un peu plus de temps ensemble, on rigole pas mal, beaucoup même, on se lâche. Pour les entraînements, c’est beaucoup plus sérieux.

Etes-vous davantage organisé au niveau des jeux sur console vis-à-vis de la fenêtre de Pau ?

On était déjà pas mal en place à Pau mais là on l’est encore davantage. Avec certains des gars, c’est l’un de nos passe-temps préférés. On joue ensemble à Call of Duty, on rigole, on s’occupe, on se prépare pour la guerre !

Vous avez lancé votre chaîne Twitch autour du gaming esport. Vous avez l’intention, comme certains footballeurs, d’avoir votre équipe ?

Pour l’instant, je ne sais pas trop, mais c’est un milieu qui me plaît énormément. Je m’investis pas mal dedans au niveau de mon temps. Je ne sais pas encore ce que je vais faire dans ce milieu mais c’est à développer. J’ai ouvert ma chaîne Twitch car ça permet de pas mal échanger avec une communauté egame dans le basket. Pourquoi pas un jour investir dans une agence.

Etes-vous en équipe de France le capitaine des jeux-vidéos, et pouvez-vous aussi nous en dire davantage sur les belles chaussures que vous allez avoir pour cette fenêtre ?

Je ne vais pas dire que je suis le capitaine, mais c’est vrai que je mets beaucoup en avant mon côté gaming. Il y a pas mal de joueurs qui ont ouvert leurs chaînes, comme Amath (Mbaye), Rudy (Gobert) l’avait fait avant. C’est super intéressant. On peut jouer ensemble, c’est vraiment cool. En ce qui concerne mes sneakers, je suis sponsorisé par une marque qui s’appelle cross-over culture et ils m’ont fait une paire spéciale pour l’équipe de France. On a fait une collaboration avec un customer qui a fait une belle chaussure.

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Comment vous sentez-vous avant ce match contre le Monténégro ?

Hâte de partir en guerre, tout simplement… Les journées sont un peu longues puisqu’on n’est pas chez nous, mais on s’entraîne bien car on sait que ça va être un gros match. Ils sont chez eux, ils ont tout fait pour organiser cette dernière fenêtre. Pour eux, il y a un grand enjeu. Nous, on sait que notre base c’est la défense et on va s’appuyer sur ça.

Avez-vous l’intention de les étouffer comme ça s’était passé avec la Grande-Bretagne à Pau ?

Si on peut faire comme contre la Grande-Bretagne, on va se faciliter clairement la tâche. En tous les cas, je serai le premier à faire ça. Ils ont des arrières qui ont de l’expérience, qui jouent ensemble depuis deux ou trois ans, je crois. Ça ne sera pas facile de les tenir mais si on joue physique avec eux, qu’on les étouffe dès le début, qu’on les empêche de jouer leur jeu correctement, c’est une équipe qui n’aime pas ça et on peut vraiment les faire déjouer.

Que change le retour de Thomas Heurtel au niveau des arrières, notamment sur le plan offensif ?

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Photo d’ouverture : FIBA

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