À 34 ans, Dante Cunningham est venu poser ses valises au Mans après 10 ans passés sur les parquets NBA. Entre son rôle au MSB, son adaptation au jeu européen et sa vocation de fermier-mécano, l’ailier se confie. Il est l’invité de notre rubrique « mi-temps avec ».
« Mi-temps avec » est une interview composée de quatre quart-temps avec un acteur du basket français et européen, de son début de carrière à ses projets futurs en passant par sa vision du championnat… et un quiz 100 % personnalisé. Pour découvrir l’intégralité de ce contenu, et bien d’autres, abonnez-vous !
1QT – Dans le rétroviseur…
«Je savais évidemment comment jouer au basket, mais être un pro, c’est une autre histoire »
La personne sans qui vous n’auriez pas fait carrière ?
« Honnêtement, il n’y en a plus d’une, c’est toute ma famille. Que ce soit ma mère, mon père, ma sÅ“ur, tout le monde a joué un rôle important. Mon père était dans l’armée, c’est de là que me vient ma discipline. Il nous a entraînés mes sÅ“urs et moi. Je dois tout à ma famille. »
Quel a été le coach le plus important pour vous ?
« Lorsque je suis arrivé à l’université de Villanova, Jay Wright m’a fait aller au bout de moi-même pour savoir ce que j’avais dans le ventre. Il m’a laissé jouer pour que je polisse mon jeu et m’a poussé à tout donner ou tout laisser tomber. »
Les joueurs qui vous ont rendu meilleur ?
« Mes deux coéquipiers préférés sont mes mentors en NBA…
Photo : Dante Cunningham (Jacques Cormarèche)