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L’ASVEL en démonstration contre Dijon en ouverture des demi-finales de Betclic Elite !

A +32 à la mi-temps et jamais inquiétée en deuxième, l’ASVEL a étrillé, presque humilié la JDA Dijon mercredi soir lors du match 1 des demi-finales de playoffs de Betclic Elite (81-68). Elle aura l’occasion de conserver l’avantage du terrain dans cette série au meilleur des cinq manches lors du matc

A +32 à la mi-temps et jamais inquiétée en deuxième, l’ASVEL a étrillé, presque humilié la JDA Dijon mercredi soir lors du match 1 des demi-finales de playoffs de Betclic Elite (81-68). Elle aura l’occasion de conserver l’avantage du terrain dans cette série au meilleur des cinq manches lors du match 2 dès vendredi soir, toujours à l’Astroballe (20h).

Inquiétée comme jamais par Cholet en quarts de finale, l’ASVEL semble avoir retenu la leçon. En ouverture des playoffs mercredi soir, les Villeurbannais ont littéralement marché sur une JDA Dijon amorphe (81-68), si l’on excepte les trois dernières minutes d’un match plié depuis longtemps. Une démonstration à la fois offensive et défensive qui n’avait rien du remake de la finale de la saison dernière. Mais alors rien du tout.

Chacun des hommes de T.J. Parker a participé à la fête, notamment Elie Okobo (15 points à 3/5 à 3-points, 5 rebonds, 5 passes), William Howard (14 points à 6/7 aux tirs, 5 rebonds), Chris Jones (13 points, 4 rebonds, 3 passes) ou encore Victor Wembanyama (5 points, 4 rebonds, 3 contres), et même Kostas Antetokounmpo et Antoine Diot, qui n’avaient pas encore foulé les parquets depuis le début des playoffs.

30 points d’écart après 17 minutes !

Les deux premières actions furent l’illustration parfaite du reste de la partie : le shooteur William Howard laissé complètement seul à 3-points dès le premier renversement de jeu suivi d’un contre de Victor Wembanyama… Il n’a pas fallu plus de 90 secondes à la JDA Dijon, malade comme Jacques Alingué, absent de dernière minute, pour comprendre qu’elle allait vivre un calvaire face à des Villeurbannais déjà euphoriques (7-0).

L’écart est passé à +15 en cinq minutes (19-4), puis à +20 en onze minutes (32-11), et +30 trois minutes avant la pause. À la mi-temps (54-22), le rouleau compresseur de l’ASVEL affichait 79 d’évaluation dont 13 ou plus pour les seuls William Howard, Elie Okobo et Chris Jones… contre 8 pour les hommes de Nenad Markovic, plus que jamais maladroits (7/24 à 3-points au final).

Rendez-vous vendredi pour le match 2

Autant dire : l’affaire était pliée. Sans aucun suspens, la deuxième mi-temps a davantage ressemblé à un All-Star Game qu’à un match de playoffs, l’écart se maintenant sans discontinuer au-dessus de 20 points… jusqu’à une minute du terme, où les Dijonnais ont enchaîné les paniers sans défense pour faire tomber la différence à -13 (81-68). Pour seulement faire oublier la classe qui les séparait ce soir des Villeurbannais.

La JDA devra montrer un autre visage dès vendredi soir (20h, à suivre sur LNB TV) lors du match 2… sous peine d’être condamné à remonter une série dans laquelle elle n’a ni l’avantage du terrain ni celui de la profondeur de banc.

Boxscore ASVEL – Dijon / Résultats playoffs

Photo : William Howard (Infinity Nine Media)

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