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L’Australienne Liz Mills coache des hommes dans un 6e pays d’Afrique

L’Australienne Liz Mills poursuit son tour d’Afrique. La voici entraîneure des ABC Fighters de Côte d’Ivoire.

L’Australienne Liz Mills poursuit son tour d’Afrique. La voici entraîneure des ABC Fighters de Côte d’Ivoire.

La Côte d’Ivoire est le 6e pays africain où l’Australienne a posé son baluchon après la Zambie, le Cameroun, le Rwanda, le Kenya et le Maroc. A chaque fois elle a coaché des hommes. Un parcours unique pour une femme.

Lis Mills a notamment coaché les champions marocains de Salé jusqu’aux quarts de finale de la Basketball Africa League 2022, où ils ont été battus par le finaliste Petro de Luanda. C’était la première fois qu’une femme dirigeait une équipe sportive professionnelle marocaine.

« J’avais déjà entendu parler d’ABC par le biais des championnats des clubs FIBA. Ils ont participé à ce tournoi tout au long de la décennie où j’étais sur le continent, donc je les connaissais en tant qu’équipe », a-t-elle déclaré à ESPN.

L’Australienne n’est pas en territoire inconnu dans ce nouveau club. Ella a déjà cotôyé l’expérimenté shooteur Stéphane Konaté et certains des jeunes joueurs d’ABC.

« Stéphane Konaté et moi avons évidemment une assez bonne relation issue de l’AfroBasket, où nous avons tous les deux reçu un ballon de basket d’or FIBA ​​et nous avons été en contact avant et depuis que j’ai signé pour l’équipe. C’est une légende africaine et c’est donc un honneur et un privilège de travailler avec un joueur de son calibre Je connais certains des jeunes joueurs qui montent dans l’équipe. Mike Fofana, qui est un Ivoirien-Américain, est quelqu’un que j’ai observé et je pense que c’est formidable qu’il revienne et joue pour une équipe de club ivoirienne. Ils ont également un certain nombre de joueurs locaux talentueux. Ce sont les équipes qui ont de grands talents locaux qui vont le plus loin dans la BAL. Si nous regardons en arrière à Monastir, Zamalek, Petro et même FAP, elles réussissent grâce à leur talents locaux. A en juger par leur façon de jouer, elles sont définitivement plus dans mon style. Comme au Kenya, le Cameroun ou le Rwanda, ces gars travaillent dur et ils veulent s’améliorer. Ils ont soif de continuer à faire passer leur équipe au niveau supérieur et je pense qu’avec les talents locaux et les importations, cette équipe a montré qu’elle était capable de participer à un tournoi du style BAL. »

Photo : FIBA

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