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Pour Tony Parker, son frère TJ n'est pas fragilisé par les départs de Victor Wembanyama et Zaccharie Risacher

Dans un échange avec le journaliste Luc Paganon du Progrès, Tony Parker, président de l'ASVEL, a répondu à quelques questions d'actualité.

Tony Parker estime que le quadruplé est toujours envisageable pour son équipe, même si "Monaco est très, très fort, part archi-favori."

Qu'avec le Mans comme adversaire en quarts-de-finale, "nous nous sommes pris la pire équipe, "que Le Mans est très, très dangereux, joue très bien et a un très fort joueur avec Morgan. J’aime bien cette équipe. Il va falloir faire attention et la prendre très au sérieux." Et il révèle que la ligue travaille pour faire des quarts en cinq manches comme les demis et la finale.

Que l'avenir c'est seize clubs en Betclic Elite, voire quatorze.

Qu'il n'est pas envisagé que Joffrey Lauvergne revienne sur les terrains cette saison. "Joffrey va très, très bien, mais je pense que ce serait un trop gros risque. Joffrey a encore deux ans de contrat chez nous et, pour l’instant, je ne serais pas pour. Il est trop important pour nous à l’avenir."

Que Fedcom ne sera pas le sponsor de l'ASVEL comme il l'est pour Monaco. "Par contre, il y a un intérêt de Skweek (plateforme créée par Fedcom, NDLR), qui veut tout mettre en œuvre pour développer le basket français. Nous avons des discussions, mais rien n’est signé."

Qu'il respecte la décision de Zaccharie Risacher de quitter l'ASVEL -le joueur a révélé hier soir sur Sport en France qu'il n'est pas encore certain de jouer pour la JL Bourg la saison prochaine.

Et à la question de savoir si ce départ, qui fait suite à celui de Victor Wembanyama -mais aussi d'autres joueurs comme Matthew Strazel- fragilise son frère TJ, le coach, il répond d'un mot :

-Non !

Photo : TJ et Tony Parker (Thomas Savoja)

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